Long Format : Le numérique à marche forcée

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Impactés par une crise sanitaire mondiale et contraints de rester chez eux, les Français ont dû se réinventer. Que ce soit pour continuer de travailler ou passer le temps, entre réseaux sociaux, applications de communication ou encore jeux vidéo, le numérique a joué un grand rôle pendant ce confinement.

Pour le meilleur, si l’on en juge la créativité fleurissante des Français à se renouveler via le net. Nouvelles activités en direct sur les réseaux sociaux, nouvelles méthodes d’enseignement,  nouvelle consommation de la culture, mais aussi pour le pire si l’on s’en réfère aux pathologies liées à l’augmentation du temps passé sur les écrans.

Voyage dans une France qui est passée à la vitesse supérieure en matière de connexion numérique. Au risque d’être déconnectée du monde réel ?

 

Sacha Nabet et Marion Durand

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Depuis le 15 mars la France est à l’arrêt. Pendant qu’une partie du pays ne peut plus travailler, 40% des actifs exercent, leur profession en télétravail. Ils profitent de ces circonstances exceptionnelles pour se renouveler dans leur métier.

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Qu’ils soient cuisiniers, enseignants, coachs sportifs, gérants de magasin ou encore journalistes, tous ont dû se réinventer pendant le confinement. Cette crise sanitaire qui fait rage dans le monde, impact économiquement tous les pays du globe, dont la France.
Selon une étude publiée le 20 avril par l’OFCE, le pays devrait perdre 120 milliards d’euros en activité économique. Les ménages eux, devraient subir une baisse de 11 milliards d’euros de revenus disponibles. Mais entre chômage partiel et télétravail, certains particuliers se servent d’Internet et de ses différentes fonctions pour poursuivre leur activité professionnelle.

Les applications de communication jouent un grand rôle pendant ce confinement. Entre Zoom, Skype, Teams etc. les Français en télétravail – un quart de la population – ont vraisemblablement le choix. Ce dernier a par exemple,  augmenté de 1000 % son nombre d’appels vidéo au mois de mars, passant de 20 millions d’utilisateurs fin novembre à plus de 44 millions depuis le début du confinement.

Pédagogie, visioconférence et enfermement

Cet outil qui permet aux sociétés de continuer à travailler avec leur employé en télétravail, et aussi grandement utilisé par les établissements scolaires afin que professeurs et élèves gardent le lien. Pour Sylvie Cenci professeur de télé à l’école de journalisme de Marseille, l’application lui a permis de totalement se renouveler dans sa façon de travailler « Il y a tout un pan du métier que l’enfermement et la visioconférence m’empêchent de traiter avec mes élèves » explique-t-elle, « je me suis dit, pourquoi pas plus se focaliser sur l’écriture qui est un peu oubliée quand on est sur le terrain. Les élèves étaient ravis, il y a eu une réelle implication dans ces examens. Cette nouvelle façon de travailler m’a ouvert les yeux sur ce que je devais changer dans mes futurs cours.« 

Mais il n’y a pas que le travail pendant le confinement ! Beaucoup de Français cherchent à s’occuper du mieux qu’ils peuvent pour passer le temps et les réseaux sociaux sont là pour les divertirent. Le public est présent puisque plus de la moitié des 15-34 ans (54%), restent les yeux rivés sur leur smartphone plus de quatre heures par jour en cette période.

Et c’est Instagram le grand gagnant de ce confinement. Il est presque impossible aujourd’hui de passer à côté des Lives, ce format vidéo en direct sur le réseau, qui donne la possibilité à qui le veut, de tout partager avec sa communauté. Les Lives sont devenus une nouvelle façon de travailler pour beaucoup.

 

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« Ces examens d’un nouveau genre, m’ont obligé à imaginer et repenser mon métier dans sa globalité« 

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« Je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de monde motivé par le sport pendant ce confinement »

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Que ce soit de la couture, du sport ou de la cuisine, les Français sont férus de contenu sur les réseaux sociaux, encore plus en cette période avec plus de 10 millions de personnes au chômage partiel. Pour d’autres, le net leur permet de continuer leur activité tout en étant confiné, « heureusement que les réseaux sociaux existent,  sans eux mon confinement aurait vraiment été angoissant« , explique Sophie coach sportif à KeepCool, « donner rendez-vous tous les mardis soir sur Instagram aux adhérents du club et même à d’autres, nous a vraiment permis de nous maintenir en forme et de continuer à créer du lien pendant cette période« , sourit-elle.

Pour Chloé blogueuse culinaire, les réseaux sociaux sont également une grande surprise « les Lives Instagram je n’en avais jamais fait avant le confinement, je ne pensais pas en faire un jour. Maintenant que je vois l’engagement je pense en faire plus spontanément à l’avenir. » Celle qui met en avant de nombreux cuisiniers sur son blog, est ravie que les réseaux sociaux puissent aider à prospérer l’activité de ceux qu’elle promeut, « je pense et j’espère vivement que les efforts mis en place pendant cette période resteront actifs après le confinement et que ça représentera pour eux une source parallèle. »

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Journalistes, cuisiniers, même combat

Autre activité qui a dû se réinventer et qui grâce aux net continue d’avancer, c’est le journalisme. Comment continuer ses émissions ? Comment continuer à attirer le public ? Beaucoup se sont tournés vers de nouvelles plateformes comme Romain Haering, présentateur du talkshow le Phocéen, un média marseillais qui propose tous les lundis et jeudis, un rendez-vous sur son site pour débattre de foot et surtout de l’OM .

Mais, si les téléspectateurs sont au rendez-vous, depuis le début du confinement, beaucoup de personnalités, dont les sportifs, créer eux-mêmes l’événement sur leurs réseaux, en se dévoilant en toute intimité. Une action qui pourrait potentiellement faire de l’ombre au journalisme.

 » Je trouve ça génial à titre personnel d’assister à des séquences comme celles que nous offrent les joueurs entre eux sur les réseaux« , explique Romain Haering, « cependant ça peut être dangereux pour le journalisme si cette pratique perdure après le confinement, mais il y a de grandes chances que ce soit un épiphénomène« , constate-t-il.

Pour son confrère Christophe Champy, journaliste sportif, ces séquences sont plus de la communication que de l’information.

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Alors, qu’ils soient  cuisiniers, professeurs, coachs sportifs, gérants de magasin ou encore journalistes, tous ont réussi à se réinventer pendant cette période. Certains même, en tirent des leçons et compte bien changer leur façon de travailler post confinement.
D’autres risquent en revanche de ne pas avoir le choix.

Marion Durand, Lucas Desort

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PODCAST

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Avec l’émergence du web, l’avenir de la presse écrite demeure flou. De plus en plus de lecteurs se tournent vers le numérique pour s’informer : plus rapide, gratuit…

Mais le papier a-t-il dit son dernier mot ? Par quels moyens peut-il tenter de survivre ? Dans le podcast situé ci-contre, nous tentons de répondre à cette question en compagnie de Juliette Pic, journaliste.

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Netflix, Disney +, OCS, LaCinétek, etc… Voici les grands gagnants de la crise sanitaire. En prenant des mesures exceptionnelles et en diversifiant leur offre, les plateformes de streaming ont enregistré des chiffres record pendant ces deux mois de confinement. Un succès considérable qui pourrait avoir des effets néfastes sur le monde du cinéma à long terme…

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Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Un proverbe populaire, mais qui est d’autant plus vrai pendant cette période de confinement. Alors que les cinémas, les tournages de films ou les festivals sont totalement à l’arrêt depuis deux mois, les plateformes de streaming engrangent des chiffres record depuis le début de la crise. Comment ne pas être charmer par ces services de films, séries ou documentaires à la demande quand on reste cloîtrer toute la journée chez soi ? Une mission (quasi) impossible.  

 
En seulement deux mois, les audiences de toutes ces plateformes ont doublé voire triplé par rapport aux années précédentes à la même époque. Netflix a séduit près de 16 millions de nouveaux abonnés au premier trimestre 2020 contre 9,6 millions sur la même période l’année dernière, d’après son communiqué de résultats publié mardi 21 avril. Disney + aussi s’est fait remarquer pendant cette période inédite en conquérant 50 millions d’abonnés dans le monde, deux semaines après son arrivée en Europe. Côté français, la plateforme VOD dédiée aux films classiques, LaCinétek, a enregistré des chiffres épatant pendant le mois de mars et d’avril. “Depuis le début du confinement, les chiffres ont été multipliés par 4,5 à comparaison aux semaines précédant la période”, affirme Jean Baptiste Viaud, délégué général de LaCinétek. “ Ainsi, nous comptons entre 10 000 et 12 000 transactions (locations et achats unitaires) par semaine, là où nous étions plutôt autour de 2 500 par semaine avant le confinement. Nous sommes passés de 10 000 abonnés à notre offre « Sélection du mois » juste avant le confinement à 16 000 abonnés à l’heure actuelle.” La plateforme OCS a également pu témoigner d’une hausse notable de ses audiences pendant la crise sanitaire. “Les consommations ont augmenté en moyenne trois fois plus depuis le début du confinement, dévoile Alan Closier, en charge des relations presse pour les séries internationales d’OCS. “Par exemple, sur les TV connectées, nous avons assisté à un triplement des actifs.”   

 

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« Depuis le début du confinement, les chiffres ont été multipliés par 4,5 à comparaison aux semaines précédant la période”

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Mais il ne faut pas limiter le succès de ces plateformes à la crise sociale qu’a subi le monde. Les plateformes de streaming ont mis les petits plats dans les grands en prenant des mesures inédites pendant cette période pour leurs abonnés. “Durant tout le mois d’avril, nous avons proposé une réduction de 1€ valable sur les locations unitaires sur l’intégralité des films du catalogue”, détaille Jean Baptiste Viaud. Ainsi, tous les films en SD étaient à 1,99€ (au lieu de 2,99€) et en HD à 2,99€ (au lieu de 3,99€)”. Pour être au plus près de ses abonnés pendant le confinement, OCS “a mis en place différentes thématiques éditorialistes afin de guider ses abonnés dans le choix de programmes à visionner”, révèle Alan Closier.  
L’un des principaux objectifs de ces plateformes de streaming : attirer une nouvelle clientèle, notamment chez les jeunes, en diversifiant leur offre. “Nous continuons de viser tous les publics, mais plus particulièrement les jeunes, grâce notamment à notre offre par abonnement « Sélection du mois » attractive et abordable”, affirme le délégué général de la Cinétek. Stratégie identique chez OCS qui “souhaite toucher un public large et diversifié”, selon Alain Closier 

Les cinémas face à la déferlante des plateformes de streaming 
 
Si les plateformes de streaming séduisent de plus en plus, quelles vont être les conséquences de la crise sur le monde du cinéma ? À l’arrêt total depuis deux mois, les opérateurs publics, les distributeurs de films ou les exploitants de salles de cinéma vont enregistrer des pertes colossales sur leur revenu annuel, sachant qu’aucune date n’a été encore officialisé par l’Etat pour la réouverture des cinémas. À long terme, le cinéma pourrait aussi subir les effets secondaires du confinement. Le public voudra-t-il retourner au cinéma dans ce climat plus ou moins anxiogène ? Comment faire revenir dans les salles ces spectateurs qui ont pris l’habitude du streaming ? Qu’est-ce qui pourrait les inciter à renoncer au confort du salon ? Comment leur faire préférer la salle obscure aux tablettes et smartphones qui permettent de visionner une série n’importe où, n’importe quand ?  

 

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Cerise Jouinot, directrice du cinéma 3 Casino à Gardanne, s’inquiète des conséquences de la crise sanitaire pour son établissement “ J’ai peur que les gens soient réticents pour revenir dans les salles de cinéma dans ce climat anxiogène favoriser par les médias. Financièrement aussi, cela risque d’être compliqué pour nous. Heureusement que l’on n’a pas trop de charges lorsque l’activité s’arrête”. La directrice espère tout de même que le 7e art va se réinventer pendant cette période et ne pas se laisser engloutir par le succès des plateformes de streaming. « Le cinéma peut devenir une alternative aux événements culturels qui ne pourront avoir lieu cet été. J’ose espérer que le grand écran reste une spécificité culturelle unique pour les spectateurs…” 


Un immense défi auquel vont devoir faire face les cinémas dans les mois, les années qui arrivent. L’État aura un rôle majeur pour aider ces indispensables de la nation. Mercredi 6 mai, Emmanuel Macron a fait plusieurs annonces pour le milieu de la culture et notamment pour l’audiovisuel. Le président de la République s’est notamment engagé à ce que les droits des intermittents du spectacle soient prolongés d’une année. Plus intéressant encore, Emmanuel Macron a indiqué que la directive SMA, obligeant les plateformes de streaming à se conformer à l’exception culturelle française, allait être transposée avant le 1er janvier 2021. Plus précisément, les services linéaires tels que TF1 ou M6 devront investir au minimum 16 % de leur chiffre d’affaires en France dans la production d’œuvres françaises et européennes, et les services non-linéaires comme Netflix, Amazon ou Disney + devront aussi contribuer. Le ministre de la Culture a évoqué un minimum de 25 %. Voilà une mesure qui pourrait rebattre les cartes dans l’univers audiovisuel…  

Lucas Emanuel et Sacha Nabet

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Ci-dessous, en cliquant sur les logos, découvrez les chiffres de cinq plateformes de streaming pendant le confinement.

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Avec le confinement, l’explosion des pratiques numériques montre les limites de ces dernières en terme d’impact sur la santé. Tour des pathologies du confiné-connecté.

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Le confinement nous contraint à rester plus longtemps sur les écrans. Que ce soit pour des raisons professionnelles, universitaires ou pour le simple plaisir de jouer, ces deux derniers mois ont vu plus de gens sur les écrans à défaut d’en voir dans la rue. Résultat, les premiers risques pour la santé apparaissent. Douleurs physiques, horloges interne déréglée ce qui favorise un mauvais endormissement, et un plus grand nombre de myopes. Est ce que le numérique a eu du bon pendant ce confinement ? Certainement, mais son utilisation abusive, souvent tard le soir provoque bien des problèmes.

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Un sommeil déréglé pour nos plus jeunes

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D’après le professeur Yvan Touitou, spécialisé dans l’études des comportements humains, la qualité de sommeil au cours des deux derniers mois a chuté remarquablement. Depuis 50 ans, l’adolescent Français a perdu en moyenne 90 minutes de sommeil par jour. Cela représente une nuit de sommeil perdue par semaine. Les raisons sont multiples mais une chose est sûre, les écrans jouent un rôle là-dedans.
En raison d’une utilisation abusive des écrans, tard le soir, un grand nombre des adolescents et enfants sont désynchronisés.
Nous disposons d’une horloge biologique qui régule et gère notre organisme. Le bon fonctionnement de cette horloge dépend d’un facteur externe : l’exposition à la lumière. L’écran, produit une lumière bleue qui freine la sécrétion d’une hormone facilitatrice pour le sommeil. C’est cette lumière bleue des écrans qui dérègle notre horloge et cause un trouble du sommeil.

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Selon le Pr Y.Touitou les conséquences vont au delà du manque de sommeil.

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Les autres risques pour la santé :

 

Mais ce n’est pas tout. Le sommeil est la première conséquence que nous puissions voir à court terme. Un problème en entrainant un autre, beaucoup de troubles de la santé découlent du manque de sommeil :

 

Image avancée sur les principaux risques pour la santé d’une utilisation abusive des écrans.

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Ce que l’académie nationale de médecine recommande

Pour que votre enfant encoure le moins de dangers possibles, l’académie de médecine recommande avant tout d’interdire l’exposition aux écrans pour les enfants âgés de moins de 3 ans.
De cesser tout écrans une heure avant le coucher et de pratiquer du sport ou une activité physique, au moins une heure par jour. Enfin, d’organiser sa journée en respectant un programme horaire régulier.

 

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Image avancée sur les principaux risques pour la santé d’une utilisation abusive des écrans.

 

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La population française

compte plus de 20 % de myopes

Lors du 125ème congrès de la Société Française d’Ophtalmologie, réalisé en mai 2019, le Pr Nicolas Leveziel, chef du service d’ophtalmologie au CHU de Poitiers a présenté les premières données de la plus grande étude jamais menée sur la myopie en France. Résultats : 20% des enfants de 0 à 18 ans sur les 500 mille enfants analysés sont myopes. Chez les adultes le taux s’élève à 37 % sur les plus de 2 Millions d’adultes testés.
Deux facteurs sont déterminants : l’hérédité et l’environnement. Pour le premier facteur, il s’agit de tirer des mêmes gênes que son entourage. Ainsi, un enfant dont les deux parents sont myopes a 6 fois plus de chance d’être myope à son tour par rapport à un enfant ayant deux parents sans troubles visuels. Pour le second, le numérique et son ascension fulgurante, au cours des dernières années, sont à l’origine de ce chiffre en constante évolution. Le manque d’exposition à la lumière du jour et le temps passé à solliciter sa vision de près, notamment sur les écrans, font augmenter le risque de myopie. Selon l’étude Elabe pour Axa Prévention et SOS Addictions, parue en octobre dernier, il serait même inconcevable pour 60 % des sondés de passer une journée sans son téléphone.

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3 questions au Pr Pierre Wary, ophtalmologue à Marseille

Pierre Wary, ophtalmologue dans le 11 ème arrondissement de Marseille, affirme ce phénomène de myopie, surtout chez les jeunes. Les écrans sont la principale cause de ces troubles visuels. L’ophtalmologue se dit même inquiet pour les prochaines générations.

Quels sont les symptômes que provoque le numérique sur la vision ?
Tout d’abord, un déclenchement d’une myopie plus précoce. Ensuite, la lumière bleue des écrans provoque des lésions rétiennes. L’usage prolongé des écrans peut également provoquer une irritation et une sécheresse des yeux, voire une fatigue oculaire.

L’ascension du numérique est-elle dangereuse pour la vue des Français ?

Le numérique n’est pas dangereux pour la vue. La surconsommation du numérique est dangereuse. De nos jours, avec toutes ces inventions technologiques, les tablettes, les Ipod etc… les français sont plus rapidement entrainés sur ces écrans et en deviennent accrocs. Le problème est qu’ils vont regarder des films à la chaine sur leur lit grâce à leur tablette, jouer en boucle à la console sans accorder de réelles pauses. Les enfants sont de plus en plus touchés. A ce rythme, d’ici quelques années, 50% de la population sera myope.

Redoutez-vous un boom des visites une fois le déconfinement possible ?

Un boom, peut-être pas. Le virus et le confinement ne vont pas arranger la situation c’est clair. Les adultes sont en télétravail. Les enfants ont des cours en visioconférence et quand ils n’ont pas cours, vu qu’ils ne peuvent pas sortir, ils se replongent dans les écrans. C’est malheureux mais je suis inquiet pour les futures générations.

 

Enzo Fiorito, Guillaume Richaud

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La montée du cyberharcèlement depuis le début du confinement

La France est entièrement confinée depuis le 17 mars. Mais alors que les Français sont contraints de rester chez eux, les associations et les plateformes qui luttent contre le cyberharcèlement tirent la sonnette d’alarme face à l’explosion de cette pratique, notamment sur les réseaux sociaux : Snapchat, Telegram et Instagram.

Une hausse estimée « à environ 20% »

Effectivement, le cyberharcèlement connaît une nette hausse depuis le début du confinement en France, soit depuis maintenant 2 mois. Une hausse estimée à « environ 20% » par Samuel Comblez, Directeur des Opérations de l’Association e-Enfance, qui lutte contre la cyber-violence. Alors que le phénomène est loin d’être nouveau en France, Samuel Comblez explique cette soudaine recrue d’aisance du cyberharcèlement au fait « que les mineurs sont davantage sur les réseaux sociaux, du fait d’une augmentation de leur temps libre liée au confinement ».

« La plus jeune victime, c’était une jeune fille de 10 ans »

Une augmentation des signalements également constatée par le groupe stop.fisha (à retrouver sur Instagram), qui lutte contre le cyberharcèlement en traquant les comptes, en recueillant les témoignages des victimes et en leurs proposant une aide juridique. Une hausse qui touche toutes les tranches d’âge, comme l’évoque Maëva, membre du collectif stop.fisha : « La plus jeune victime, c’était une jeune fille de 10 ans… et on a reçu des messages de femmes en âge d’être maman ». Malgré tout, les enfants et les adolescents restent majoritairement les plus touchés par le cyberharcèlement et notamment les jeunes filles.
Mais le cyberharcèlement c’est quoi ? C’est le fait qu’un individu ou un groupe d’individus, utilise un type de communication électronique, à savoir : un téléphone, les réseaux sociaux, les forums, les jeux en ligne, les courriers électroniques… dans le but de commettre un acte agressif, intentionnel et répété à l’encontre d’une personne. L’objectif des agresseurs étant de causer du tort, obtenir des données personnelles, faire du chantage ou encore, demander de l’argent à leur victime.

« Les comptes « fisha » ont considérablement augmenté »

Alors qu’il existe de multiples formes de cyberharcèlement, depuis le début du confinement en France, l’utilisation de certaines pratiques a fortement augmenté, selon les propos du Directeur des Opérations d’e-Enfance : « Les comptes « fisha » (qui publient des photos de jeunes femmes, la plupart du temps mineures, dénudées et sans avoir leur consentement) ont considérablement augmenté. On a également constaté une augmentation des chantages à la webcam… des jeunes qui échangent avec un partenaire amoureux ou pas… en s’envoyant des photos ou des vidéos d’eux, plus ou moins dénudés. »

Pour remédier au cyberharcèlement, les victimes tout comme leurs familles et les professionnels peuvent :

• Appeler le numéro vert Net Ecoute (0800 200 00), dirigé par l’Association e-Enfance, pour obtenir des conseils et recevoir de l’aide pour retirer des vidéos ou des photos
• Effectuer un signalement sur la plateforme gérée par la police (PHAROS), ou sur le site internet : Pointdecontact.net
• Se rendre dans un commissariat ou une gendarmerie pour porter plainte
• Obtenir des renseignements et des aides auprès des collectifs et/ou groupes présents sur les réseaux sociaux : stop.fisha, harcelement.online, Féministes contre le cyber-harcèlement…

« Les contrôles ne sont pas assez suffisant »

Malgré tout, la lutte contre le cyberharcèlement reste difficile, car elle doit nécessairement passer par une coordination de tous les acteurs du numérique, des réseaux sociaux, jusqu’aux plateformes de contrôle, en passant par le gouvernement. Une coordination qui ne semble pas être irréprochable pour de nombreuses associations. Du côté du collectif « stop.fisha », ce sont les plateformes qui posent problème : « Les contrôlent ne sont pas assez suffisant, il y a trois plateformes sur lesquelles on signale : Pharos, Net Ecoute, Pointdecontact.net… Et sur Pharos pas exemple, le nombre de signalements est limité à 6 par jour… ». Tandis que du côté de l’association e-Enfance, on dénonce le manque de réactivité des réseaux sociaux : « Le problème du confinement, c’est que la masse des signalements a augmenté, alors qu’en parallèle la réactivité des réseaux sociaux n’a elle, pas augmenté au même rythme. Le temps d’attente pour résoudre les problèmes a donc augmenté, alors que quand on est une victime on a envie que les choses soient rapidement résolues. »
Autant de failles dans le système de lutte contre le cyberharcèlement qui permettent aux auteurs des attaques de ne jamais être identifiés et donc de ne pas être inquiétés par la justice, la plupart du temps…

Clément MANZI, FABIO PIAZZA

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25 réponses sur “Long Format : Le numérique à marche forcée”

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