LONG FORMAT : AU TEMPS DU CONFINEMENT

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Ils sont économistes, sportifs, artistes. Ils ne se déplacent plus mais respirent mieux, ne vont plus dans les magasins mais mangent local et ne s’entraînent plus mais préparent déjà demain. Tour d’horizon d’un confinement qui n’a pas que des mauvais côtés en long format.

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EDITO

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Alors que l’épidémie de coronavirus bat son plein, « Au temps du confinement » est un long format qui vous fera découvrir pour certains ou redécouvrir pour d’autres, la France et le monde à l’heure du confinement. 

Aux manettes, confinés chez nous, 17 étudiants de l’Institut Européen de Journalisme à Marseille avons relevé le défi durant 5 jours de vous fournir une image la plus juste de la réalité. 

Une seule ambition anime la quasi totalité du globe : rebondir. Mais comment ? 

Au temps du confinement tentera alors à certains moments de mettre en perspective des enjeux, car le monde de demain ne sera pas celui de l’avant coronavirus. 

Un monde qui sera différent. Un monde qui devra se réinventer. Un monde qui n’aura plus les mêmes priorités.

Qu’ils soient sportifs, économistes, chefs d’entreprises, bénévoles, apiculteurs ou encore journalistes, un seul mot d’ordre : l’adaptation.

Luca Licata Caruso

 

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Le Covid-19, ce « petit machin », dévoile les errements des sociétés modernes. Renaud Vignes, docteur en économie à l’Université Aix-Marseille, perçoit l’affrontement entre l’illibéralisme numérique et l’intelligence collective comme l’enjeu majeur du monde de demain.

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Le temps se raréfie

 

« Il ne faut jamais oublier que le monde d’avant, celui du 31 décembre 2019, ce monde allait très mal. Que ce soit l’économie, l’environnement ou le social ». Une piqûre de rappel jugée nécessaire par Renaud Vignes. Docteur en économie à l’Université d’Aix-Marseille -AMU- il a écrit un livre, l’Impasse, publié en décembre 2018. Dans son ouvrage il développe sa théorie de la réintroduction du temps et de l’espace en économie comme voie de dépassement du technocapitalisme, caricature du libéralisme. « Le monde a accéléré dans sa financiarisation, dans son éloignement et dans sa numérisation. Et plus personne n’arrive à suivre », diagnostique l’économiste.

Puis, un « petit machin » s’est incrusté dans les rouages de la machine. Les médecins l’appellent Covid-19 : un minuscule virus qui met à genoux les sociétés modernes. Le monde entier le connaît puisque plus de la moitié de la population mondiale se retrouve confinée par sa faute. « C’est comme les voitures de plus en plus sophistiquées ou les fusées : le moindre bout de chiffon peut faire exploser la machine quand elle est défectueuse. Ce petit machin révèle d’immenses problèmes et questionne notre civilisation », juge Renaud Vignes.

« Mon livre l’Impasse pose le diagnostic d’un affrontement entre deux visions du monde centré autour de l’accélération du temps, de sa raréfaction. Je pense, vu la situation actuelle, que mon analyse est la bonne », explique le professeur à AMU. Son travail académique est devenu concret et « passionnant » avec la crise dangereuse que les sociétés technocapitalistes traversent.

Homo Festicus Numericus : une crise anthropologique

 « Ma grande surprise fut à quel point rapidement beaucoup de monde ait perçu l’isolement dans lequel le système les a placés comme une perte d’intelligence. Pourtant, on a plus de temps qu’avant », observe Renaud Vignes. Les médias publics, par exemple, font un effort avec des films et documentaires labellisés nation apprenante et d’innombrables initiatives individuelles voient le jour. « C’est un vrai moment de réflexion, un vrai moment d’inversion de nos valeurs. Ce que le coronavirus nous impose c’est de revisiter la société de l’individualisme. On est, je pense, vraiment dans la confrontation dure avec le système qu’on a voulu nous imposer », estime le professeur en économie.

Le technocapitalisme promeut la fin de la rationalité de l’homo economicus. « La vision qui sous-tend le système est une vision aberrante : l’Homme est incapable de se débrouiller tout seul puisque le monde va trop vite. Il est devenu un Festicus Numericus, tout juste bon à consommer. En terme économique c’est la notion de rationalité limitée. Et pour dépasser cette barrière on va utiliser les nouvelles technologies et l’intelligence artificielle », décrit Renaud Vignes.

Qui n’a pas entendu parler de l’application StopCovid ? Un autre « petit machin » d’apparence innocente. « Elle fait partie des réponses du technocapitalisme. L’individu n’est plus capable de se discipliner alors petit à petit on va le faire à sa place grâce à la captologie. C’est une vision que je refuse totalement. Pour moi l’Homme n’est pas un abruti », assène le docteur en économie. Des petits pas qui conduisent l’individu-consommateur à l’utopie décrite par Orwell ou Huxley.

La vitrine des promesses du technocapitalisme se trouve en Chine. « La Chine fait ce dont les GAFAM rêvent. Les Chinois travaillent dur, ils sont fichés avec un système de note social, ils se dénoncent entre eux… C’est le laboratoire de l’Homme augmenté par la technologie. L’individu ne doit plus se poser de question : tout est normalisé et les déviants sont pointés du doigt », décrit Renaud Vignes. Mais une alternative existe.

La solution est dans l’humain

Pour sortir de l’impasse, le livre éponyme apporte un élément de réponse qui passe par le concept de mésoéconomie. « Elle n’est pas seulement un juste milieu entre la micro et la macroéconomie. La mésoéconomie intègre le fait que les comportements des agents sont influencés par le territoire sur lequel ils sont. D’où la prise en compte de l’espace en plus du temps comme réponse à la crise anthropologique ».

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« Pour moi la lutte va se faire entre ce que j’appelle l’illibéralisme numérique et les sociétés qui misent sur l’intelligence collective. Ces forces illibérales souhaitent reprendre le monde là où elles l’avaient laissé avant le Covid. Business as usual . Ça n’a strictement aucun sens. Il faut inventer autre chose »

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Ce concept s’articule autour de la théorie de l’intelligence collective, tout droit inspirée du philosophe John Dewey. « Maintenant depuis mi-2019, mon travail consiste à me demander : qu’est-ce qu’on fait ? J’ai utilisé la pensée de Dewey, mais aussi Amartya Sen et Elinor Ostrom, pour réfléchir à la production de l’intelligence collective. Je ne fais que prolonger leurs pensées. Tous posent comme principe l’intelligence collective comme alternative à l’individualisation et au fractionnement. L’individu est augmenté dans sa relation à l’autre : la puissance d’agir pour transformer le système se situe dans nos libertés », explique Renaud Vignes.

Des expérimentations grandeurs natures se multiplient. Parmi elles, Nos quartiers demain est une association un peu particulière. Elle s’était opposée au projet de fusion de clinique privé à deux pas de la Timone. « Puis ils ont fait le pari fou d’être capable de proposer un projet alternatif. Pendant un an ils ont travaillé à cela. Je les ai aidés dans leur démarche, en leur donnant des pistes, des documents. Ils ont organisé des ateliers-débats entre citoyens et se sont entretenus avec l’INSEE ou encore l’ARS -Agence Régional de Santé- pour passer d’un projet de contestation à un projet collectif. C’est un lieu d’expérimentation démocratique dont l’illustration parfaitement viable économiquement est le Park Slope Food Coop à Brooklyn ou encore les initiatives citoyennes et démocratiques à Barcelone », explique l’économiste.

Nos Quartiers Demain, modèle alternatif en France

 

Depuis plus d’un an, Renaud Vignes remarque les responsabilités de plus en plus importantes endossées par les associations et collectifs marseillais. « C’est à l’intérieur du collectif que l’individu se réalise. Et on le voit avec le retour de l’esprit civique à Marseille. Pour moi depuis les effondrements du 5 novembre, ce sont les collectifs qui ont tenu la ville. Ils ont réussi à mettre en place des choses incroyables face à des politiques qui sont absents. Que ce soit sur la question du PPP dans les écoles, la charte du relogement, l’arrêt de la fusion des cliniques privées Beauregard et Vert-Coteau sur la friche de l’ancien collège Louis Armandou ou encore le mouvement Laisse béton. Je pourrais en citer énormément. Pour moi, c’est la démonstration de l’intelligence collective », estime Renaud Vignes.

Nos quartiers demain est un potentiel modèle en France pour tracer les contours du monde post-coronavirus. « C’est pour moi un laboratoire grandeur nature sur deux hectares pour tester et observer tout ce dont je parle dans mes travaux. Le but est non seulement de grandir les acteurs impliqués dans cet espace mais aussi l’espace en lui-même », explique l’auteur de l’Impasse. Pour mettre en œuvre l’intelligence collective, le docteur en économie pose deux conditions nécessaires tout droit tiré de ses travaux : avoir le temps et se rapprocher. « Et cela entre forcément en conflit avec les forces accélératrices que sont la start-up nation et les grandes puissances monopolistiques. Elles souhaitent seulement augmenter leur pouvoir de contrôle et leur chiffre d’affaire », analyse-t-il.

« Pour moi la lutte va se faire entre ce que j’appelle l’illibéralisme numérique et les sociétés qui misent sur l’intelligence collective. Ces forces illibérales souhaitent reprendre le monde là où elles l’avaient laissé avant le Covid. Business as usual [les affaires continuent, NDLR]. Ça n’a strictement aucun sens. Il faut inventer autre chose », s’insurge Renaud Vignes. Quelle forme pourrait prendre le projet citoyen sur la friche de l’ancien collège Louis Armandou pour répondre au technocapitalisme ? « Nous avons bien avancé et des annonces seront faites prochainement », dévoile Renaud Vignes qui publiera également un livre au second semestre, dans la continuité de l’Impasse. Quel sera son titre ? « Je n’ai pas encore de titre défini mais j’aimerai inclure le mot temps ». L’éditeur de l’ouvrage est lui déjà dans la poche.

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Jérémy Duprat

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Quel sera le paysage sportif de demain ? C’est la grande problématique à laquelle les sportifs de haut niveau sont confrontés. Pas facile de garder la forme dans de telles conditions mais un seul mot d’ordre règne : l’adaptation. 

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Alors que pour certains sportifs la saison sportive continuera dès la fin du confinement, pour d’autres qui ont vu leur saison s’arrêter subitement, c’est l’incertitude pour une future reprise. Le calendrier de la prochaine saison en sera bouleversé, tout comme celui de la reprise des entraînements. Pour se préparer au mieux à un retour à la compétition, toutes les initiatives sont bonnes.

Le triathlète allemand Jan Frodeno, triple champion du monde IronMan à Hawaï (2014, 2015 et 2019), à réalisé récemment un IronMan chez lui, en 8 heures et 33 minutes. Il a relevé le défi de nager 3,8 kilomètres, de pédaler 180 kilomètres et de courir un marathon, soit 42,195 kilomètres, le tout en étant confiné. Un exploit qui lui a valu de récolter lors de sa course 200 000 euros de dons pour les établissements de santé de Gérone en Espagne, où il réside.

Dans le monde du foot, Le Football Club d’Orléans qui évolue en Ligue 2, réalise des entraînement via conférences vidéos entre joueurs et membres du staff. Des sessions de 45 minutes de perfectionnement musculaire leur sont proposés. Le staff est aussi à leur disposition pour parler tactique. Au Cercle des Nageurs de Marseille, les poloïstes sont suivis quotidiemment. « Notre préparateur physique nous envoie des programmes tous les jours » positive Ugo Crousillat. Son partenaire d’attaque, Alexandre Camarasa se satisfait quant à lui de la « coopération entre les coachs et le médecin du club ». Les champions d’Europe en titre poursuivent leur préparation physique depuis leur domicile afin de se préparer pour la saison prochaine. Malgré leur première place au classement, Marc Amaredeilh et ses hommes ne seront pas champions cette année, puisque la saison 2019/2020 est annulée.

Au CNM on pense déjà à l’après confinement. Michel Paris, entraîneur Elites et Jeunes, envisage une reprise en douceur pour ses nageurs: « On va reprendre avec de la nage en mer et de la préparation physique. On ne va pas les confiner dans une piscine, il y aura déjà beaucoup de frustration ». Après s’être entrainés 9 fois par semaine pendant 8 mois, les nageurs du groupe pré-espoir ne pourront pas participer aux championnats de France à Pau, annulés par la Fédération Française de Natation.

Mathilde Cini, médaillée aux championnats du Monde en 2014, continue son entraînement pendant le confinement dans l’optique des championnats de France qui devraient avoir lieu en Octobre 2020. Selon elle, le « plus dur c’est d’avancer sans objectif », même si « le sportif de haut niveau doit s’adapter à tout ». Elle garde le sourire et se considère chanceuse d’avoir plus de temps de préparation pour revenir à son meilleur niveau, après s’être cassée la cheville en décembre 2019.

Une adaptation qui diverge selon les sports. La saison de sports d’hiver s’est arrêtée brutalement, dû au Covid19. Pas de reprise avant l’automne prochain. Alors pour palier le manque de compétition et le manque de neige, des infrastructures sont mises en place. « A la fédération de ski à Albertville, ils ont créer des chambres d’altitude. Tu poses le vélo, et tu peux simuler la chaleur et l’humidité que tu rencontres en montagne » précise Emeric Pierreton, kiné du sport et ancien kiné de l’équipe de France de ski alpin. Des alternatives indoors qui se veulent être l’avenir des sports d’hiver, en raison du réchauffement climatique. 

Luca Licata Caruso et Aymeric Paris 

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Mathilde Cini, spécialiste du dos, est à ce jour encore en rééducation mais a repris l’entraînement. Elle se livre sur son confinement et sur la difficulté de se projeter pour les échéances à suivre. 

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Les plus grands musées mondiaux, les opéras et les festivals s’invitent chez vous. Une évasion culturelle en direct de votre canapé.

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Pendant cette période de confinement, le monde de la culture est à l’arrêt. Les musées, les cinémas, les théâtres sont fermés. Les festivals sont reportés et les spectacles annulés. Cependant, certains d’entre eux ont décidé de s’adapter à cette crise sanitaire inédite pour proposer aux citoyens des manières originales de se cultiver et  se divertir à travers l’art

De nombreux dispositifs numériques ont été créés pour permettre au monde entier d’accéder à des contenus interactifs, à défaut de  se rendre sur place. 

En France, le ministère de la Culture à voulu soutenir toutes ces solutions mises en place, avec l’opération #Culturecheznous

Ce dispositif permet aux musées, théâtres, opéras, festivals… de partager leurs contenus culturels. Du musée du Louvre aux Ateliers des Lumières, les établissements proposent des visites virtuelles, des podcasts, des concerts en streaming. Tout cela s’immisce dans les salons de tous les confinés.

Ce confinement est d’ailleurs très propice à la création… et il a son propre festival. Le Festival des arts confinés a été pensé et mis en ligne par Pierre-Marie Braye-Weppe et Arnaud Méthivier, musiciens et compositeurs. Inauguré le 16 mars sur le site Agora Off, le concept, “c’est un fil d’actualité de performeurs, danseurs, comédiens, souhaitant spontanément continuer de cultiver, d’enrichir, d’éduquer, de transmettre, de questionner”, argumentent les créateurs à  nos confrères du Monde. Chaque soir, à 19 heures, une vidéo d’une création artistique est postée, pour illustrer la journée du confinement. “Comme un festival, cet événement, unique, se déroule sur la période de confinement et se clôture à sa fin, laissant ainsi une œuvre finie, dont la temporalité est encore aujourd’hui inconnue”, écrivent les concepteurs sur leur site.

Ailleurs dans le monde, la culture est mise à la disposition de tous. Du MOMA (Museum of Modern Art) de New York qui propose des cours sur l’art contemporain, en passant par la visite virtuelle du musée du Vatican et jusqu’au tombeau de Ramsès VI à Louxor modélisé en 3D, vous pourrez voyager dans le temps et l’espace, depuis chez vous. 

Julie Percivalle et Nisrina Merry

 

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Kimberley et Fatna, deux Marseillaises ont testé la culture à distance. 

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Qui dit confinement dit événements musicaux, concerts et festivals annulés. Mais comment continuer de divertir le monde pendant cette période où toute la population reste chez elle ? De part la crise du coronavirus, de nouvelles formes de concerts voient le jour.

[/et_pb_fullwidth_header][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ custom_padding_last_edited= »on|phone » _builder_version= »4.4.4″ min_height= »903px » custom_margin= »||||false|false » custom_margin_tablet= » » custom_margin_phone= »|-160px||-20px|false|false » custom_margin_last_edited= »on|phone » custom_padding_tablet= » » custom_padding_phone= »|0px||150px|false|false »][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »|185px||auto|| »][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »|||4px|| »]

Un concert diffusé dans le monde entier, plus de 70 artistes internationaux réunis par visioconférence de chez eux, le « One World : Together at home » a fait un véritable carton. Des stars comme Elton John, Taylor Swift, les Rolling Stones ou encore la chanteuse belge Angèle y ont participé. Plus de 319.000 Français ont regardé le concert en live, ils étaient 14 millions aux Etats-Unis.

C’est un évènement avec deux cotés positifs. Le premier c’est qu’il permet aux monde entier de suivre les plus grands chanteurs de la planète en live et de se divertir. Et le second, c’est que l’événement pensé et crée par Lady Gaga, a généré 127 millions de dollars de dons, qui ont été reversés à l’association Global Citizen et à l’OMS, dans le cadre de la lutte contre le coronavirus.

Concerts en mondovision, mix sur les toits et musique classique 2.0

 

Autre événement mais cette fois en plein air, le set de David Guetta sur le toit d’un building à Miami a mis le feu aux réseaux sociaux. Sa prestation de deux heures a été diffusée en live sur Facebook, Instagram, Twitter, Youtube, Twitch et Zoom. En France, W9 et Fun Radio ont également retransmis le show.

Le DJ français a déclaré sur son compte Instagram: «Je suis en train de rêver après cette soirée incroyable partagée avec beaucoup de monde. Même s’il s’agit d’un moment inhabituel, c’était magique de me connecter à vous tous à travers la musique. Le plus important, nous avons récolté de l’argent qui aidera ceux qui en ont le plus besoin». Une production qui a aussi permis de  récolter 600 000€ pour lutter contre le Covid-19.

Les membres de l’Orchestre national de France ont aussi décidé de continuer à jouer tous ensemble, mais depuis chez eux. Un Boléro de Ravel interprété à la perfection par 28 musiciens séparés à cause du confinement. La vidéo à été mise en ligne sur internet et a été visionnée des milliers de fois. Une bonne alternative pour cette formation qui avec tous ses musiciens réunis, arrive à ne former qu’une seule mélodie.

Mais ce n’est pas le seul, l’orchestre de Serbie a également joué « Bella Ciao » pour soutenir les Italiens il y a quelques semaines, l’orchestre national du capitole avec « La damnation de Faust », ou encore l’orchestre Hexagone avec le « Lac des Cygnes ». Reste à voir si désormais, ces nouveaux types d’évènements musicaux se reproduiront même après le confinement.

Florian Majo et Alexia Ginier

 

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SOURCES DE L’INFOGRAPHIE : CONSOMMATION DE BIENS CULTURELS DÉMATÉRIALISÉS EN SITUATION DE CONFINEMENT

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En TimeLapse, les prestations des chanteurs du « One World : Together at home » prouvant que malgé la distance, le plus grands artistes de la planète ont réussi à se rassembler le temps d’un concert virtuel.

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Certains se lancent dans la peinture, le sport… et d’autres préfèrent les vidéos ! Avec une augmentation du trafic internet de plus de 70% depuis le début du confinement, aucun doute que les Français consomment et créent beaucoup plus de contenu : live Instagram, Tiktok, séances de sport via Youtube… Tous les moyens sont bons pour adapter « la vie d’avant » à la quarantaine. 

Une augmentation que Thibault le Ouay, community manager chez l’application de vidéos Tiktok, constate également. « Les gens ont plus de temps pour consommer ce genre de contenus puisqu’ils n’ont plus de temps de trajets en voiture par exemple, ou d’heures de cours », rappelons que les utilisateurs les plus représentés ont en moyenne entre 16 et 24 ans. 

Ce temps, les développeurs de Tiktok l’appréhendent et l’utilisent pour créer une sorte de dépendance. « Une fois que tu es dessus, l’application a un pouvoir attractif assez important. Tu commences et tu ne t’ennuies jamais. Ils vont toujours te pousser des vidéos qui vont te plaire et qui vont faire en sorte avec l’algorithme de te rendre addict assez rapidement », ajoute-t-il. Et pour preuve, les français passent en moyenne 52 minutes par jour sur l’application à faire défiler leur fil, de vidéo en vidéo. 

Mais Tiktok n’est pas la seule application qui divertit. Les live Instagram ont eux aussi la côte. Plusieurs influenceurs n’hésitent pas à proposer des séances de sport (yoga, musculation…) pour adapter l’activité sportive à la maison. Alexia Rirol est une adepte des live Instagram de Fiona Imeneo, professeure de Yoga à Aix-en-Provence qui propose des cours en direct deux fois par semaine sur l’application depuis le début du confinement. « Je n’en rate jamais un. Je trouve ça vraiment généreux de permettre aux apprentis yogi de découvrir la pratique, étant donné que les cours sont gratuits. C’est une façon d’aider à mieux vivre la quarantaine », commente-t-elle. 

Youtube, la vidéo au service du sport

D’autres, comme les célébrités, cherchent à rendre le temps moins long pour leur communauté, essayant de les divertir à travers différents contenus. C’est notamment le cas des Youtuber sport comme Tibo In Shape, Karoline.ro et Sissy MUA qui ont fait de l’activité physique à la maison leur principale thématique. Pour Matthieu Daniel, bloqué dans son petit appartement étudiant depuis le 17 mars, ces vidéos sont une bulle d’air pour penser à autre chose qu’à l’isolement. « C’est mon rendez-vous de la journée ! Je trouve ça super motivant et on se sent moins seul, ça m’aide à ne pas perdre mon style de vie avec le confinement » détaille-t-il. À voir si ce mode de communication restera aussi populaire après le 11 mai.

Marie Audemard

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Si le confinement devient long pour certains, d’autres réussissent à y prendre goût. Hors du temps et pour tuer l’ennui, les confinés ont expérimenté toutes sortes d’activités en solo ou en famille et réalisé des choses qu’ils n’auraient jamais faites auparavant.

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La date du déconfinement prévue au 11 mai est encore loin. En dépit de certains grands parents qui ne peuvent pas voir leurs petits enfants d’autres ont vu tout le potentiel que pouvait avoir le confinement. En cette période, c’est l’occasion pour eux de resserrer les liens familiaux, de se rapprocher et de faire les activités  qu’ils n’avaient pas l’habitude faire…ou qu’ils n’avaient même jamais imaginées.

Puisque l’ennui stimule la créativité, Arnaud Tinel, photographe indépendant et père de famille, a décidé de se déguiser tous les deux jours avec sa famille suivant le thème que lui impose ses abonnées (Koh-Lanta, wedding confinés, ou encore Friends,…). « Le fait de bosser avec ma famille, je vois la construction de la photo, ce qu’ont amené les autres, et c’est très jouissif ». A l’image d’Arnaud, Pierre Baradat se déguise chaque jour pour divertir sa famille.

D’autres familles ont également opté pour des ateliers créatifs en famille, loin des téléphones et de la société de consommation dans laquelle grandissent les jeunes générations. « Quand mon mari ne travaille pas, on fait des activités tous ensemble », explique Vanessa, mère de deux enfants, qui a dû changer son quotidien et se rapprocher de ses enfants, « on passait moins de temps tous ensemble étant donnée que les enfants étaient à l’école et nous au travail ». Pâtisseries, peintures, jardinage, jeux de cartes, dessins, … la liste pour combattre l’ennui est longue. L’emploi du temps pour apprendre à booster son imagination est bien chargé.

Les choses simples sont les meilleures

D’autres, plus grands ou plus âgés ont profité du confinement pour faire les choses essentielles qu’ils n’avaient pas le temps de faire. Chrislaine, mère de famille, a ressorti ses vieilles recettes pour préparer des petits plats à sa famille : « Je n’avais plus le temps de cuisiner, avec le confinement je reprends le temps de faire plaisir à ma famille, j’ai même cuisiné un couscous ! » s’amuse Chrislaine.

Réfléchir, faire du sport, concocter des petits plats… En bref, voici tous ce qui permet de prendre soin de soi afin de se ressourcer. Anna, lycéenne de 16 ans, en profite pour faire du sport et pour booster sa créativité. « Je fais du sport tous les matins, et l’après midi des ateliers comme la couture par exemple, je n’avais jamais essayé, mais c’est plutôt intéressant ! » Et puis, après tout, c’est plutôt agréable de prendre des nouvelles de ses proches ou de reprendre contact avec de vieux amis. D’autant plus que les apéritifs en vidéos sont autorisés !

 L’après confinement 

« Je me rends compte de certaines choses importantes que je ne faisais pas avant et que j’aimerai continuer à faire après le confinement », explique Chrislaine, « C’est agréable de cuisiner et qui plus est, avec ses propres aromates, je vais essayer de maintenir ce rythme là ». Pierre Baradat est aussi de cet avis : » On nous pose souvent la question sur ce qu’on va faire après le confinement. Alors pourquoi ne pas continuer à poster nos photos sur les réseaux, une fois par semaine pour prolonger cet esprit créatif en famille « .

Pour ces familles qui ont pu se ressourcer ensemble quotidiennement, l’heure est aux questionnements. Reprise du travail, retour à l’école : l’emploi du temps risque d’être chargé. Mais pas question d’en oublier les bienfaits du confinement.  » J’espère qu’après cette dure période, ma famille et moi pourront préserver cette complicité que nous avons retrouvée « , conclue Vanessa. Reste à savoir si tous ces nouveaux esprits créatifs continueront de se développer après le confinement.

Cindy Chevaux et Loane Philippe

 

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« Je me rends compte de certaines choses importantes que je ne faisais pas avant et que j’aimerai continuer à faire après le confinement »

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Imposé aux entreprises en raison de l’épidémie de coronavirus, le télétravail se révèle être un outil primordial aujourd’hui. Le sera-t-il après le 11 mai ?

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« Il va falloir que le télétravail se poursuive dans toute la mesure du possible après le 11 mai », a annoncé le Premier ministre. Une annonce qui inquiète. En effet, un sondage réalisé par Opinion Way révèle que 44% des salariés français interrogés se sentent en situation de « détresse psychologique ».

Confinement et télétravail ne feraient donc pas bon ménage. Mais que vaut l’outil du télétravail en lui-même ? Pour ce chef d’entreprise dans l’automobile, après le déconfinement, les méthodes de travail vont être chamboulées. « On va devoir se réinventer et proposer d’autres choses. Mes salariés sont contents de la façon dont nous bossons à distance. Leur donner peut-être plus d’autonomie à la maison.. J’y réfléchis et c’est envisageable». 

Une autre étude (Deskeo) montre que les français apprécient cette nouvelle méthode de travail. 62% des salariés interrogés voudraient continuer le télétravail après le confinement. Alors que seulement 12% ne souhaitent pas changer leur habitudes après le confinement. 

« On s’y habitue vite »

Une nouvelle méthode qui plaît et à laquelle les Français ont dû s’adapter. « En tant que secrétaire administrative, mon travail reste le même que je sois à la maison ou sur mon lieu de travail. On s’y habitue vite et on y trouve même des avantages » témoigne cette salariée de la faculté de médecine à Marseille. 

Toujours selon le sondage Deskeo, 71% des salariés interrogés ont désormais une image négative sur les entreprises qui refusent le télétravail. Un boom du télétravail qui a chamboulé quelques secteurs d’activités et qui ont dû s’y adapter. C’est le cas des médias qui doivent répondre à leur fonction première : informer.  

Luca Licata Caruso et Aymeric Paris 

 

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Avec le confinement, les médias ont dû se réorganiser pour traiter au mieux l’information.  Face aux contraintes sanitaires, les journalistes usent de méthode comme le télétravail ou la visioconférence en direct.

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Depuis le début du
confinement, de nouvelles méthodes ont étés mises en place dans différents médias pour continuer à informer le plus grand nombre.

À la télévision, les Talks show battent leur plein. Les programmes  comme C à Vous sur France 5, Touche pas à mon poste présenté par Cyril Hanouna sur C8, ou encore Quotidien présenté par Yann Barthès sur TMC, ont recours à la visioconférence en direct. Une méthode qui fonctionne bien car elle a permit aux émissions de maintenir leur audience, soit 2,7% du marché sur C8 pour TPMP.

Interview par téléphone
et précautions sur le terrain

Du coté de BFM TV, CNEWS, RMC mais aussi TF1, les interviews par Skype ou téléphone sont les plus prisés. A l’heure où la qualité du rendu était la plus importante, le retour à l’essentiel et l’information brute priment durant cette période un peu particulière.

Contraints de s’adapter, beaucoup de journalistes s’organisent en télétravail. “On arrive a faire de l’actualité même si c’est compliqué. Je fais énormément de télétravail. Je vais un peu sur le terrain car l’OM continue de faire parler, on essaie d’allier le sport avec le social. Mais mon travail de reporter me manque, le sport l’ambiance du stade, l’adrénaline des commentaires de but, même si les joueurs on peut les contacter encore par téléphone”, se désole Florent Germain, reporter à RMC Sport. Dans une période ou tout est en stand-by, le milieu du sport ne fait pas exception.

Les stratégies sont les mêmes pour les radios. Du côté de Radio France la rédaction continue de tourner, et toutes les précautions sont prises lorsqu’il est nécessaire d’aller sur le terrain. “Les journalistes de terrain ont des perches, des gants et des masques obligatoires fournies par la rédaction” témoigne Marie Christine Lauriol, reporter actuellement en chômage partiel à Radio France.

« Clique à la maison » :
Informer via un live Instagram

Sur les réseaux sociaux, l’émission Clique animée par Mouloud Achour sur Çanal+, s’est transformée en “CLIQUE A LA MAISON”. Cette stratégie a rapidement été mise en place pour maintenir le contact avec ses téléspectateurs, faisant environ 3000 vus par vidéo. En direct, et en live Instagram, l’émission web est présentée sous forme d’interview, de témoignage et de débat sur l’actualité avec l’intervention en direct de différents invités comme Noélie Falguiere, médecin psychiatre atteinte du covid-19. Ou encore des artistes francophones comme Oxmo Puccino ou Soolking.

Concernant l’après-confinement, certains professionnels ne sont pas très optimistes. “Je pense que cela va être très compliqué pour le marché du travail de surmonter cette situation, les journalistes ont beaucoup perdu en crédibilité durant cette crise, malheureusement. Et en tant que journaliste indépendante, je réalise des documentaires et je ne pense pas que ce soit la priorité des grandes chaînes en ce moment” confie Sylvie Cenci, journaliste indépendante.

Agatha Granddidier et Clément Siéper

 

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Télétravail, visioconférence, streaming, autant d’activités qui ont vu leur nombre d’utilisateurs exploser ces dernières semaines et avec lui la pollution numérique. La période de confinement instaurée dans la plupart des pays du globe favorise cette pollution aussi dangereuse pour la planète que les autres. 

 

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Le coronavirus a complètement bouleversé le monde entier. Le confinement prononcé par la quasi-totalité des pays mondiaux a permis à la nature de reprendre ses droits. De belles images montrent des animaux revenant dans des endroit qu’ils avaient quitté à cause de la pollution. De ce fait, la pollution de l’air en dioxyde d’azote a baissé d’environ 50% dans les grandes villes européennes tels que Paris, Rome ou encore Milan (selon l’ASE).

Mais, ce confinement met en avant d’autres types de pollutions tel que la pollution numérique. Responsable de 4% des émissions mondiale de gaz à effet de serre, la pollution numérique est un fléau invisible qui ne cesse de grandir depuis la mise en confinement. Cette pollution est causée par l’utilisation d’internet ainsi que de celle de tous les objets technologiques tel qu’une montre connectée ou un ordinateur.

Même si aucun chiffre officiel n’est sorti, la mise en télétravail de la plupart des travailleurs crée une augmentation significative du nombre de mails envoyés. Lorsqu’on sait que supprimer 30 mails équivaut à la consommation d’une ampoule allumée pendant 24h et qu’en moyenne un salarié d’une entreprises de moins de 100 personnes reçoit une centaine de mails par jour, le chiffre devient colossal.

Pour remédier à cela, l’association World Cleanup Day France a créée le 20 mars dernier une journée de CleanUp numérique. Chaque jeudi, l’association met en ligne sur ses réseaux sociaux (https://www.facebook.com/worldcleanupdayfrance/)  des trucs et astuces pour réduire sa consommation numérique. Chaque personne peut y participer et identifier le challenge à l’aide des hashtags #cyberchallenge et #cybercleanup. Après des débuts compliqués, l’association réunit de plus en plus de participants. 

Grégory Farina

[/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.4.3″][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_code _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »-60px||-34px||| » custom_padding= »0px||0px||| »]
[/et_pb_code][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ fullwidth= »on » _builder_version= »4.4.3″ background_color= »rgba(0,0,0,0.8) » background_image= »https://polovich-makenews.pf26.wpserveur.net/wp-content/uploads/2020/04/person-sitting-behind-wall-grayscale-photo-901931.jpg » animation_style= »fade »][et_pb_fullwidth_header title= »MARSEILLE solidaire durant le confinement » subhead= »Depuis le début du confinement, des initiatives fleurissent à Marseille pour venir en aide aux plus démunis. Entre cagnottes pour aider le personnel soignant et livraison de nourriture aux personnes dans le besoin, les citoyens marseillais montrent leur solidarité. » text_orientation= »center » _builder_version= »4.4.4″ title_font= »Montserrat|||on||||| » title_text_align= »center » title_font_size= »83px » content_font_size= »25px » background_color= »rgba(0,0,0,0.28) » background_enable_image= »off » parallax= »on » custom_padding= »310px||||| » animation_style= »fade » title_font_size_tablet= »69px » title_font_size_phone= »28px » title_font_size_last_edited= »on|tablet » subhead_font_size_tablet= » » subhead_font_size_phone= »18px » subhead_font_size_last_edited= »on|phone » title_text_shadow_style= »preset1″][/et_pb_fullwidth_header][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ custom_padding_last_edited= »on|phone » _builder_version= »4.4.4″ custom_margin= »||||false|false » custom_margin_tablet= » » custom_margin_phone= »|||-190px|false|false » custom_margin_last_edited= »on|phone » custom_padding= »||||false|false » custom_padding_tablet= » » custom_padding_phone= »|160px|||false|false »][et_pb_row column_structure= »3_5,2_5″ _builder_version= »4.4.3″ width= »80.7% » custom_margin= »|auto||221px|| » custom_padding= »||0px||| »][et_pb_column type= »3_5″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text _builder_version= »4.4.4″ min_height= »685px »]

Depuis plus d’un mois, la pandémie de coronavirus a plongé la France dans une situation économique et sociale inédite. À Marseille, de nombreuses personnes se trouvant à la limite ou en dessous du seuil de pauvreté n’ont plus les moyens d’acheter des produits de première nécessité. Pour remédier à cette situation sans précédents, de nombreuses associations et collectifs marseillais se sont rassemblés pour organiser des distributions de nourriture ainsi que des collectes de fonds.

Ainsi, une douzaine de points de distribution de nourriture et de produits de première nécessité ont vu le jour de la Canebière à Sainte-Marthe. Tenus par le Secours Populaire ou encore de plus petites associations comme la Maraude Belsunce, ces points de ravitaillement appellent aux dons de nourriture, de produits d’hygiène et de produits pour bébés pour les distribuer ou les livrer aux plus nécessiteux dans toute la ville.

La Maraude mentalité virage Depé, un collectif de supporters de l’OM, a pour sa part nettoyé la Halle Puget, occupée par de nombreux migrants. Si le lieu reste insalubre, la maraude a souhaité garantir une meilleure hygiène à ses occupants. Ces petites initiatives mises bout-à-bout se révèlent être de taille en cette période de crise sanitaire où le virus se propage à vitesse grand V.

Une harmonisation des actions est également en train de s’orchestrer. C’est pourquoi de nombreux bénévoles se sont réunis la semaine dernière pour faire un point sur les différentes maraudes, et les répartir par zone géographique.

A cause du coronavirus, beaucoup d’hébergements d’urgence sont moins accessibles et les grandes associations comme les Restos du Coeur ou encore Emmaüs peinent à poursuivre leurs activités, faute de bénévoles. Ces actions citoyennes cherchent donc à combler ce manque d’assistance créé par la crise sanitaire.

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Les soignants en difficulté

[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »4.4.3″]

C’est également une période difficile pour les personnels soignants de la ville, en première ligne du combat contre la maladie, qui n’ont parfois même plus le temps de se préparer à manger. Ils manquent aussi de matériel médical nécessaire à leur sécurité, faute de moyens.

Pour leur venir en aide, plusieurs cagnottes ont donc été créées par des habitants marseillais pour leur livrer de la nourriture, comme la Pizza du Cœur, une initiative imaginée par des jeunes en étude de santé qui livrent des pizzas aux services les plus sollicités de la Timone, l’Hôpital Nord et l’Institut Paoli-Calmettes.

« Dans certains hôpitaux, les cantines sont fermées et le personnel soignant n’a pas le temps de penser à ce qu’il va manger. C’est la qu’on intervient », soutient Jeremy Mayen, l’instigateur de l’initiative.

Frédéric Mulard, responsable du restaurant « A table ! » a également lancé un appel aux dons afin de préparer des repas cuisinés à base de produits frais, qu’il livre chaque jour aux hôpitaux de la ville.

Enfin, l’entrepreneur Fabrice Raffo a créé une cagnotte sur internet afin d’acheter des masques pour les soignants. Il se fournit principalement en Asie et distribue ces protections aux médecins de ville, aux infirmières libérales et au personnel des EHPAD.

Si la crise sanitaire peut sembler sans issue pour certains, ces initiatives citoyennes redonnent de l’espoir aux habitants tout en ravivant la solidarité dans les quartiers.

« Il n’y a pas de grand ou de petit dons, chaque centime compte », rappelle Jeremy Mayen.

Illona Bellier et Lorine Sarkissian

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La solidarité renaît avec le kit de Voisins Solidaires

Après l’annonce du confinement du Président Emmanuel Macron en mars dernier, Atanase Périfan, fondateur de l’association Voisins Solidaires, a décidé de créer un kit permettant de combattre l’isolement tout en venant en aide à son voisin. Ce kit « Coronavirus : et si on s’organisait entre voisins ? » est gratuit et contient des affiches, des tracts, un annuaire des voisins, un panneau des voisins ainsi qu’un guide de conseils pour faire face au coronavirus.

Pour s’organiser, il suffit d’accrocher un panneau des voisins dans la cage d’escalier de son immeuble. Les personnes intéressées inscrivent ensuite des services qu’elles sont à même de rendre ou des demandes pour celles ne pouvant pas sortir de chez elles.

Créé dans le but de « préserver un lien social » et d’aider les personnes les plus à risque, ce kit est également, pour le fondateur, un moyen de créer « une vague de solidarité » sur l’ensemble du territoire.

Disponible depuis le 12 mars 2020 sur internet, le kit a déjà été téléchargé plus de 650 000 fois en France et environ 4 300 fois à Marseille.

Illona Bellier

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Pour aller plus loin, consultez nos articles sur
la nature pendant le confinement

[/et_pb_text][et_pb_blog fullwidth= »off » include_categories= »25″ show_author= »off » show_date= »off » show_categories= »off » show_excerpt= »off » show_pagination= »off » _builder_version= »4.4.4″ text_orientation= »center » scroll_fade_enable= »on »][/et_pb_blog][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

Confinement : la consommation de vidéo explose sur internet

[et_pb_section fb_built= »1″ fullwidth= »on » _builder_version= »4.4.3″ background_color= »rgba(0,0,0,0.8) » background_image= »https://polovich-makenews.pf26.wpserveur.net/wp-content/uploads/2020/04/harry-cunningham-1-Osp6CvhXc-unsplash-scaled.jpg » animation_style= »fade »][et_pb_fullwidth_header title= »Confinement : la consommation de vidéo explose sur internet » subhead= »Que ce soit pour se divertir ou rester en forme, Youtube, Tiktok et d’autres applications offrent une large gamme de contenus vidéos. De quoi s’occuper pendant le confinement. » text_orientation= »center » _builder_version= »4.4.3″ title_font= »Montserrat|||on||||| » title_text_align= »center » title_font_size= »83px » content_font_size= »25px » background_color= »rgba(0,0,0,0.28) » background_enable_image= »off » parallax= »on » custom_padding= »310px||||| » animation_style= »fade » title_font_size_tablet= »69px » title_font_size_phone= »58px » title_font_size_last_edited= »on|tablet » title_text_shadow_style= »preset1″][/et_pb_fullwidth_header][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.4.3″ custom_padding= »4px||||| »][et_pb_row _builder_version= »4.4.3″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text _builder_version= »4.4.3″]Certains se lancent dans la peinture, le sport… et d’autres préfèrent les vidéos ! Avec une augmentation du trafic internet de plus de 70% depuis le début du confinement, aucun doute que les Français consomment et créent beaucoup plus de contenu : live Instagram, Tiktok, séances de sport via Youtube… Tous les moyens sont bons pour adapter « la vie d’avant » à la quarantaine. 

Une augmentation que Thibault le Ouay, community manager chez l’application de vidéos Tiktok, constate également. « Les gens ont plus de temps pour consommer ce genre de contenus puisqu’ils n’ont plus de temps de trajets en voiture par exemple, ou d’heures de cours », rappelons que les utilisateurs les plus représentés ont en moyenne entre 16 et 24 ans. 

Ce temps, les développeurs de Tiktok l’appréhendent et l’utilisent pour créer une sorte de dépendance. « Une fois que tu es dessus, l’application a un pouvoir attractif assez important. Tu commences et tu ne t’ennuies jamais. Ils vont toujours te pousser des vidéos qui vont te plaire et qui vont faire en sorte avec l’algorithme de te rendre addict assez rapidement », ajoute-t-il. Et pour preuve, les français passent en moyenne 52 minutes par jour sur l’application à faire défiler leur fil, de vidéo en vidéo. 

Mais Tiktok n’est pas la seule application qui divertit. Les live Instagram ont eux aussi la côte. Plusieurs influenceurs n’hésitent pas à proposer des séances de sport (yoga, musculation…) pour adapter l’activité sportive à la maison. Alexia Rirol est une adepte des live Instagram de Fiona Imeneo, professeure de Yoga à Aix-en-Provence qui propose des cours en direct deux fois par semaine sur l’application depuis le début du confinement. « Je n’en rate jamais un. Je trouve ça vraiment généreux de permettre aux apprentis yogi de découvrir la pratique, étant donné que les cours sont gratuits. C’est une façon d’aider à mieux vivre la quarantaine », commente-t-elle. 

Youtube, la vidéo au service du sport

D’autres, comme les célébrités, cherchent à rendre le temps moins long pour leur communauté, essayant de les divertir à travers différents contenus. C’est notamment le cas des Youtuber sport comme Tibo In Shape, Karoline.ro et Sissy MUA qui ont fait de l’activité physique à la maison leur principale thématique. Pour Matthieu Daniel, bloqué dans son petit appartement étudiant depuis le 17 mars, ces vidéos sont une bulle d’air pour penser à autre chose qu’à l’isolement. « C’est mon rendez-vous de la journée ! Je trouve ça super motivant et on se sent moins seul, ça m’aide à ne pas perdre mon style de vie avec le confinement » détaille-t-il. À voir si ce mode de communication restera aussi populaire après le 11 mai. [/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.4.3″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_code _builder_version= »4.4.3″]

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Pollution numérique

[et_pb_section fb_built= »1″ fullwidth= »on » _builder_version= »4.4.4″ hover_enabled= »0″ background_enable_image= »off » title_text= »images »][et_pb_fullwidth_header title= »La pollution numérique : un fléau invisible » text_orientation= »center » header_fullscreen= »on » _builder_version= »4.4.4″ title_font= »Archivo Black|||||||| » title_font_size= »81px » content_font_size= »17px » background_color= »rgba(0,0,0,0.35) » background_enable_image= »off » hover_enabled= »0″ text_shadow_style= »preset2″ text_shadow_horizontal_length= »0em »]

La pollution numérique grandit d’année en année à cause des nouvelles technologies créées et de l’augmentation croissante du nombre d’utilisateurs. La période de confinement instaurée dans la plupart des pays mondiaux met en avant cette pollution aussi dangereuse pour la planète que les autres. 

 

[/et_pb_fullwidth_header][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »||-73px||| »][et_pb_row column_structure= »1_3,1_3,1_3″ _builder_version= »4.4.3″ min_height= »480px » custom_margin= »|auto|-122px|auto|| »][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text admin_label= »Marie Audemard et Agatha Granddidier » _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »|-417px|||| » custom_padding= »|0px|||| »]

eLe coronavirus a complètement bouleversé le monde entier. Le confinement prononcé par la quasi-totalité des pays mondiaux a permis à la nature de reprendre ses droits. De belles images montrent des animaux revenant dans des endroit qu’ils avaient quitté à cause de la pollution. De ce fait, la pollution de l’air en dioxyde d’azote a baissé d’environ 50% dans les grandes villes européennes tels que Paris, Rome ou encore Milan (selon l’ASE).

Mais, ce confinement met en avant d’autres types de pollutions tel que la pollution numérique. Responsable de 4% des émissions mondiale de gaz à effet de serre, la pollution numérique est un fléau invisible qui ne cesse de grandir depuis la mise en confinement. Cette pollution est causée par l’utilisation d’internet ainsi que de celle de tous les objets technologiques tel qu’une montre connectée ou un ordinateur.

Même si aucun chiffre officiel n’est sorti, la mise en télétravail de la plupart des travailleurs crée une augmentation significative du nombre de mails envoyés. Lorsqu’on sait que supprimer 30 mails équivaut à la consommation d’une ampoule allumée pendant 24h et qu’en moyenne un salarié d’une entreprises de moins de 100 personnes reçoit une centaine de mails par jour, le chiffre devient colossal.

Pour remédier à cela, l’association World Cleanup Day France a créée le 20 mars dernier une journée de CleanUp numérique. Chaque jeudi, l’association met en ligne sur ses réseaux sociaux (https://www.facebook.com/worldcleanupdayfrance/)  des trucs et astuces pour réduire sa consommation numérique. Chaque personne peut y participer et identifier le challenge à l’aide des hashtags #cyberchallenge et #cybercleanup. Après des débuts compliqués, l’association réunit de plus en plus de participants. 

Grégory Farina

[/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.4.3″][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_3″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_code _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »-60px||-34px||| » custom_padding= »0px||0px||| »]

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Confinement : les nouvelles formes d’événements musicaux

[et_pb_section fb_built= »1″ fullwidth= »on » _builder_version= »4.4.3″ background_color= »rgba(0,0,0,0.8) » background_image= »https://polovich-makenews.pf26.wpserveur.net/wp-content/uploads/2020/04/Sans-titre-1.jpeg » background_enable_video_mp4= »off » animation_style= »fade » hover_enabled= »0″][et_pb_fullwidth_header title= »Confinement : les nouvelles formes d’événements musicaux » text_orientation= »center » _builder_version= »4.4.3″ title_font= »Archivo Black|||on||||| » title_text_align= »center » title_font_size= »55px » title_line_height= »1.1em » content_font_size= »25px » background_color= »rgba(0,0,0,0.28) » background_image= »https://polovich-makenews.pf26.wpserveur.net/wp-content/uploads/2020/04/IMG_6645.jpg » width= »100% » custom_padding= »145px|||0px|| » animation_style= »fade » hover_enabled= »0″ title_font_size_tablet= »69px » title_font_size_phone= »58px » title_font_size_last_edited= »on|tablet » title_text_shadow_style= »preset1″ title_text_shadow_vertical_length= »-0.01em » locked= »off » title__hover_enabled= »off|desktop » background_position= »center_right » background_repeat= »repeat »]

Qui dit confinement dit événements musicaux, concerts et festivals annulés. Mais comment continuer de divertir le monde pendant cette période où toute la population reste chez elle ? De part la crise du coronavirus, de nouvelles formes de concerts voient le jour.

[/et_pb_fullwidth_header][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.4.3″ min_height= »903px »][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »|||4px|| »]

Un concert diffusé dans le monde entier, plus de 70 artistes internationaux réunis par visioconférence de chez eux, le « One World : Together at home » a fait un véritable carton. Des stars comme Elton John, Taylor Swift, les Rolling Stones ou encore la chanteuse belge Angèle y ont participé. Plus de 319.000 Français ont regardé le concert en live, ils étaient 14 millions aux Etats-Unis.

C’est un évènement avec deux cotés positifs. Le premier c’est qu’il permet aux monde entier de suivre les plus grands chanteurs de la planète en live et de se divertir. Et le second, c’est que l’événement pensé et crée par Lady Gaga, a généré 127 millions de dollars de dons, qui ont été reversés à l’association Global Citizen et à l’OMS, dans le cadre de la lutte contre le coronavirus.

Concerts en mondovision, mix sur les toits et musique classique 2.0

Autre événement mais cette fois en plein air, le set de David Guetta sur le toit d’un building à Miami a mis le feu aux réseaux sociaux. Sa prestation de deux heures a été diffusée en live sur Facebook, Instagram, Twitter, Youtube, Twitch et Zoom. En France, W9 et Fun Radio ont également retransmis le show.

Le DJ français a déclaré sur son compte Instagram: «Je suis en train de rêver après cette soirée incroyable partagée avec beaucoup de monde. Même s’il s’agit d’un moment inhabituel, c’était magique de me connecter à vous tous à travers la musique. Le plus important, nous avons récolté de l’argent qui aidera ceux qui en ont le plus besoin». Une production qui a aussi permis de  récolter 600 000€ pour lutter contre le Covid-19.

Les membres de l’Orchestre national de France ont aussi décidé de continuer à jouer tous ensemble, mais depuis chez eux. Un Boléro de Ravel interprété à la perfection par 28 musiciens séparés à cause du confinement. La vidéo à été mise en ligne sur internet et a été visionnée des milliers de fois. Une bonne alternative pour cette formation qui avec tous ses musiciens réunis, arrive à ne former qu’une seule mélodie.

Mais ce n’est pas le seul, l’orchestre de Serbie a également joué « Bella Ciao » pour soutenir les Italiens il y a quelques semaines, l’orchestre national du capitole avec « La damnation de Faust », ou encore l’orchestre Hexagone avec le « Lac des Cygnes ». Reste à voir si désormais, ces nouveaux types d’évènements musicaux se reproduiront même après le confinement.

Florian Majo et Alexia Ginier

 

[/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_code _builder_version= »4.4.3″ min_height= »926px » custom_margin= »||0px||| »][/et_pb_code][et_pb_text _builder_version= »4.4.3″ hover_enabled= »0″]

SOURCES DE L’INFOGRAPHIE : https://hadopi.fr/sites/default/files/sites/default/files/ckeditor_files/2020_04_23_Hadopi_pratiques_et_usages_en_situation_de_confinement_vague_2_partie_1.pdf

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ fullwidth= »on » _builder_version= »4.4.3″ animation_style= »fade »][et_pb_fullwidth_code _builder_version= »4.4.3″][/et_pb_fullwidth_code][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_row _builder_version= »4.4.3″][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text _builder_version= »4.4.3″ min_height= »35px »]

TimeLaps des prestations des chanteurs du « One World : Together at home » prouvant que malgé la distance, le plus grands artistes de la planète ont réussi à se rassembler le temps d’un concert virtuel.

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Marseille : tous solidaires durant le confinement

[et_pb_section fb_built= »1″ fullwidth= »on » _builder_version= »4.4.3″ background_color= »rgba(0,0,0,0.8) » background_image= »https://polovich-makenews.pf26.wpserveur.net/wp-content/uploads/2020/04/person-sitting-behind-wall-grayscale-photo-901931.jpg » animation_style= »fade »][et_pb_fullwidth_header title= »Tous solidaires durant le confinement » subhead= »Depuis le début du confinement, des initiatives fleurissent à Marseille pour venir en aide aux plus démunis. Entre cagnottes pour aider le personnel soignant et livraison de nourriture aux personnes dans le besoin, les citoyens marseillais montrent leur solidarité. » text_orientation= »center » _builder_version= »4.4.4″ title_font= »Montserrat|||on||||| » title_text_align= »center » title_font_size= »83px » content_font_size= »25px » background_color= »rgba(0,0,0,0.28) » background_image= »https://polovich-makenews.pf26.wpserveur.net/wp-content/uploads/2020/04/93849021_2235275383242182_3333657021340712960_o.jpg » parallax= »on » custom_padding= »310px||||| » animation_style= »fade » title_font_size_tablet= »69px » title_font_size_phone= »58px » title_font_size_last_edited= »on|tablet » title_text_shadow_style= »preset1″][/et_pb_fullwidth_header][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_row column_structure= »3_5,2_5″ _builder_version= »4.4.3″ width= »80.7% » custom_margin= »|auto||221px|| »][et_pb_column type= »3_5″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text _builder_version= »4.4.4″ min_height= »685px » hover_enabled= »0″]

Depuis plus d’un mois, la pandémie de coronavirus a plongé la France dans une situation économique et sociale inédite. À Marseille, de nombreuses personnes se trouvant à la limite ou en dessous du seuil de pauvreté n’ont plus les moyens d’acheter des produits de première nécessité. Pour remédier à cette situation sans précédents, de nombreuses associations et collectifs marseillais se sont rassemblés pour organiser des distributions de nourriture ainsi que des collectes de fonds.

« En l’espace de deux mois, nous avons reçu plus de 350 propositions de bénévolat, c’est énorme. Un tel engouement pour venir en aide aux personnes en précarité, c’est fantastique ! On se dit qu’il y a de l’espoir », confie Gaëlle Salado, bénévole au Secours Populaire.

Ainsi, une douzaine de points de distribution de nourriture et de produits de première nécessité ont vu le jour de la Canebière à Sainte-Marthe. Tenus par le Secours Populaire ou encore de plus petites associations comme la Maraude Belsunce, ces points de ravitaillement appellent aux dons de nourriture, de produits d’hygiène et de produits pour bébés pour les distribuer ou les livrer aux plus nécessiteux.

« Nous voyons énormément de personnes qui n’ont pas l’habitude de demander de l’aide à ce genre de structure, qui en ont un peu honte aussi. Car lorsque l’on dévoile nos difficultés à quelqu’un d’autre, on dévoile aussi notre fragilité. Mais notre fragilité est ce qui fait notre humanité », continue Gaëlle Salado.

La Maraude mentalité virage Depé, un collectif de supporters de l’OM, a pour sa part nettoyé la Halle Puget, occupée par de nombreux migrants. Si le lieu reste insalubre, la maraude a souhaité garantir une meilleure hygiène à ses occupants. Ces petites initiatives mises bout-à-bout se révèlent être de taille en cette période de crise sanitaire où le virus se propage à vitesse grand V.

Une harmonisation des actions est également en train de s’orchestrer. C’est pourquoi de nombreux bénévoles se sont réunis la semaine dernière au McDonald’s du quartier de Saint-Barthélémy pour faire un point sur les différentes maraudes, et les répartir par zone géographique.

« Je pense que quelque chose est en train de se créer. Les bénévoles sont vraiment heureux de faire ça, de se retrouver autour d’une valeur commune et d’aider à trouver des solutions pour les personnes les plus impactées par cette crise sanitaire. Ces personnes qui vivent d’habitude du système D, qui travaillent au noir, sans assurance chômage et qui se retrouvent donc sans emploi et sans revenu durant le confinement », conclut la bénévole.

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Les soignants en difficulté

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C’est également une période difficile pour les personnels soignants de la ville, en première ligne du combat contre la maladie, qui n’ont parfois même plus le temps de se préparer à manger. Ils manquent aussi de matériel médical nécessaire à leur sécurité, faute de moyens.

Pour leur venir en aide, plusieurs cagnottes ont donc été créées par des habitants marseillais pour leur livrer de la nourriture, comme la Pizza du Cœur, une initiative imaginée par des jeunes en étude de santé qui livrent des pizzas aux services les plus sollicités de la Timone, l’Hôpital Nord et l’Institut Paoli-Calmettes.

« Dans certains hôpitaux, les cantines sont fermées et le personnel soignant n’a pas le temps de penser à ce qu’il va manger. C’est la qu’on intervient », soutient Jeremy Mayen, l’instigateur de l’initiative.

Frédéric Mulard, responsable du restaurant « A table ! » a également lancé un appel aux dons afin de préparer des repas cuisinés à base de produits frais, qu’il livre chaque jour aux hôpitaux de la ville.

Enfin, l’entrepreneur Fabrice Raffo a créé une cagnotte sur internet afin d’acheter des masques pour les soignants. Il se fournit principalement en Asie et distribue ces protections aux médecins de ville, aux infirmières libérales et au personnel des EHPAD.

Si la crise sanitaire peut sembler sans issue pour certains, ces initiatives citoyennes redonnent de l’espoir aux habitants tout en ravivant la solidarité dans les quartiers.

« Il n’y a pas de grand ou de petit dons, chaque centime compte », rappelle Jeremy Mayen.

Des actions citoyennes, présentes aux quatre coins de la ville, qui cherchent donc à combler un manque d’assistance tout en créant du lien entre ses habitants.

Illona Bellier et Lorine Sarkissian

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La solidarité renaît avec le kit de Voisins Solidaires

Après l’annonce du confinement du Président Emmanuel Macron en mars dernier, Atanase Périfan, fondateur de l’association Voisins Solidaires, a décidé de créer un kit permettant de combattre l’isolement tout en venant en aide à son voisin. Ce kit « Coronavirus : et si on s’organisait entre voisins ? » est gratuit et contient des affiches, des tracts, un annuaire des voisins, un panneau des voisins ainsi qu’un guide de conseils pour faire face au coronavirus.

Pour s’organiser, il suffit d’accrocher un panneau des voisins dans la cage d’escalier de son immeuble. Les personnes intéressées inscrivent ensuite des services qu’elles sont à même de rendre ou des demandes pour celles ne pouvant pas sortir de chez elles.

Créé dans le but de « préserver un lien social » et d’aider les personnes les plus à risque, ce kit est également, pour le fondateur, un moyen de créer « une vague de solidarité » sur l’ensemble du territoire.

Disponible depuis le 12 mars 2020 sur internet, le kit a déjà été téléchargé plus de 650 000 fois en France et environ 4 300 fois à Marseille.

Illona Bellier

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Partie 1/ CULTURE

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Les plus grands musées mondiaux, les opéras et les festivals s’invitent chez vous. Une évasion culturelle en direct de votre canapé.

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Pendant cette période de confinement, le monde de la culture est à l’arrêt. Les musées, les cinémas, les théâtres sont fermés. Les festivals sont reportés et les spectacles annulés. Cependant, certains d’entre eux ont décidé de s’adapter à cette crise sanitaire inédite pour proposer aux citoyens des manières originales de se cultiver et  se divertir à travers l’art

De nombreux dispositifs numériques ont été créés pour permettre au monde entier d’accéder à des contenus interactifs, à défaut de  se rendre sur place. 

En France, le ministère de la Culture à voulu soutenir toutes ces solutions mises en place, avec l’opération #Culturecheznous

Ce dispositif permet aux musées, théâtres, opéras, festivals… de partager leurs contenus culturels. Du musée du Louvre aux Ateliers des Lumières, les établissements proposent des visites virtuelles, des podcasts, des concerts en streaming. Tout cela s’immisce dans les salons de tous les confinés.

Ce confinement est d’ailleurs très propice à la création… et il a son propre festival. Le Festival des arts confinés a été pensé et mis en ligne par Pierre-Marie Braye-Weppe et Arnaud Méthivier, musiciens et compositeurs. Inauguré le 16 mars sur le site Agora Off, le concept, “c’est un fil d’actualité de performeurs, danseurs, comédiens, souhaitant spontanément continuer de cultiver, d’enrichir, d’éduquer, de transmettre, de questionner”, argumentent les créateurs à  nos confrères du Monde. Chaque soir, à 19 heures, une vidéo d’une création artistique est postée, pour illustrer la journée du confinement. “Comme un festival, cet événement, unique, se déroule sur la période de confinement et se clôture à sa fin, laissant ainsi une œuvre finie, dont la temporalité est encore aujourd’hui inconnue”, écrivent les concepteurs sur leur site.

Ailleurs dans le monde, la culture est mise à la disposition de tous. Du MOMA (Museum of Modern Art) de New York qui propose des cours sur l’art contemporain, en passant par la visite virtuelle du musée du Vatican et jusqu’au tombeau de Ramsès VI à Louxor modélisé en 3D, vous pourrez voyager dans le temps et l’espace, depuis chez vous. 

Julie Percivalle et Nisrina Merry

 

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Kimberley et Fatna, deux Marseillaises ont testé la culture à distance. 

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Télétravail et confinement : quand le courant passe bien

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Imposé aux entreprises en raison de l’épidémie de coronavirus, le télétravail se révèle être un outil primordial aujourd’hui. Le sera-t-il après le 11 mai ?

[/et_pb_fullwidth_header][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_row column_structure= »1_2,1_2″ _builder_version= »4.4.3″ custom_margin= »|auto||221px|| »][et_pb_column type= »1_2″ _builder_version= »4.4.3″][et_pb_text _builder_version= »4.4.3″]

« Il va falloir que le télétravail se poursuive dans toute la mesure du possible après le 11 mai », a annoncé le Premier ministre. Une annonce qui inquiète. En effet, un sondage réalisé par Opinion Way révèle que 44% des salariés français interrogés se sentent en situation de « détresse psychologique ».

Confinement et télétravail ne feraient donc pas bon ménage. Mais que vaut l’outil du télétravail en lui-même ? Pour ce chef d’entreprise dans l’automobile, après le déconfinement, les méthodes de travail vont être chamboulées. « On va devoir se réinventer et proposer d’autres choses. Mes salariés sont contents de la façon dont nous bossons à distance. Leur donner peut-être plus d’autonomie à la maison.. J’y réfléchis et c’est envisageable». 

Une autre étude (Deskeo) montre que les français apprécient cette nouvelle méthode de travail. 62% des salariés interrogés voudraient continuer le télétravail après le confinement. Alors que seulement 12% ne souhaitent pas changer leur habitudes après le confinement. 

« On s’y habitue vite »

Une nouvelle méthode qui plaît et à laquelle les Français ont dû s’adapter. « En tant que secrétaire administrative, mon travail reste le même que je sois à la maison ou sur mon lieu de travail. On s’y habitue vite et on y trouve même des avantages » témoigne cette salariée de la faculté de médecine à Marseille. 

Toujours selon le sondage Deskeo, 71% des salariés interrogés ont désormais une image négative sur les entreprises qui refusent le télétravail. Un boom du télétravail qui a chamboulé quelques secteurs d’activités et qui ont dû s’y adapter. C’est le cas des médias qui doivent répondre à leur fonction première : informer.  

Luca Licata Caruso et Aymeric Paris 

 

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S’adapter pour mieux régner

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Quel sera le paysage sportif de demain ? C’est la grande problématique à laquelle les sportifs de haut niveau sont confrontés. Pas facile de garder la forme dans de telles conditions mais un seul mot d’ordre règne : l’adaptation. 

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Alors que pour certains sportifs la saison sportive continuera dès la fin du confinement, pour d’autres qui ont vu leur saison s’arrêter subitement, c’est l’incertitude pour une future reprise. Le calendrier de la prochaine saison en sera bouleversé, tout comme celui de la reprise des entraînements. Pour se préparer au mieux à un retour à la compétition, toutes les initiatives sont bonnes.

Le triathlète allemand Jan Frodeno, triple champion du monde IronMan à Hawaï (2014, 2015 et 2019), à réalisé récemment un IronMan chez lui, en 8 heures et 33 minutes. Il a relevé le défi de nager 3,8 kilomètres, de pédaler 180 kilomètres et de courir un marathon, soit 42,195 kilomètres, le tout en étant confiné. Un exploit qui lui a valu de récolter lors de sa course 200 000 euros de dons pour les établissements de santé de Gérone en Espagne, où il réside.

Dans le monde du foot, Le Football Club d’Orléans qui évolue en Ligue 2, réalise des entraînement via conférences vidéos entre joueurs et membres du staff. Des sessions de 45 minutes de perfectionnement musculaire leur sont proposés. Le staff est aussi à leur disposition pour parler tactique. Au Cercle des Nageurs de Marseille, les poloïstes sont suivis quotidiemment. « Notre préparateur physique nous envoie des programmes tous les jours » positive Ugo Crousillat. Son partenaire d’attaque, Alexandre Camarasa se satisfait quant à lui de la « coopération entre les coachs et le médecin du club ». Les champions d’Europe en titre poursuivent leur préparation physique depuis leur domicile afin de se préparer pour la saison prochaine. Malgré leur première place au classement, Marc Amaredeilh et ses hommes ne seront pas champions cette année, puisque la saison 2019/2020 est annulée.

Au CNM on pense déjà à l’après confinement. Michel Paris, entraîneur Elites et Jeunes, envisage une reprise en douceur pour ses nageurs: « On va reprendre avec de la nage en mer et de la préparation physique. On ne va pas les confiner dans une piscine, il y aura déjà beaucoup de frustration ». Après s’être entrainés 9 fois par semaine pendant 8 mois, les nageurs du groupe pré-espoir ne pourront pas participer aux championnats de France à Pau, annulés par la Fédération Française de Natation.

Mathilde Cini, médaillée aux championnats du Monde en 2014, continue son entraînement pendant le confinement dans l’optique des championnats de France qui devraient avoir lieu en Octobre 2020. Selon elle, le « plus dur c’est d’avancer sans objectif », même si « le sportif de haut niveau doit s’adapter à tout ». Elle garde le sourire et se considère chanceuse d’avoir plus de temps de préparation pour revenir à son meilleur niveau, après s’être cassée la cheville en décembre 2019.

Une adaptation qui diverge selon les sports. La saison de sports d’hiver s’est arrêtée brutalement, dû au Covid19. Pas de reprise avant l’automne prochain. Alors pour palier le manque de compétition et le manque de neige, des infrastructures sont mises en place. « A la fédération de ski à Albertville, ils ont créer des chambres d’altitude. Tu poses le vélo, et tu peux simuler la chaleur et l’humidité que tu rencontres en montagne » précise Emeric Pierreton, kiné du sport et ancien kiné de l’équipe de France de ski alpin. Des alternatives indoors qui se veulent être l’avenir des sports d’hiver, en raison du réchauffement climatique. 

Luca Licata Caruso et Aymeric Paris 

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Mathilde Cini, spécialiste du dos, est à ce jour encore en rééducation mais a repris l’entraînement. Elle se livre sur son confinement et sur la difficulté de se projeter pour les échéances à suivre. 

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Confinement : un retour aux sources qui fait du bien

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Si le confinement devient long pour certains, d’autres réussissent à y prendre goût. Hors du temps et pour tuer l’ennui, les confinés ont expérimenté toutes sortes d’activités en solo ou en famille et réalisé des choses qu’ils n’auraient jamais faites auparavant.

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La date du déconfinement prévue au 11 mai est encore loin. En dépit de certains grands parents qui ne peuvent pas voir leurs petits enfants d’autres ont vu tout le potentiel que pouvait avoir le confinement. En cette période, c’est l’occasion pour eux de resserrer les liens familiaux, de se rapprocher et de faire les activités  qu’ils n’avaient pas l’habitude faire…ou qu’ils n’avaient même jamais imaginé.

Puisque l’ennui stimule la créativité, Arnaud Tinel, photographe indépendant et père de famille, a décidé de se déguiser tous les deux jours avec sa famille suivant le thème que lui impose ses abonnées (Koh-Lanta, wedding confinés, ou encore Friends,…). « Le fait de bosser avec ma famille, je vois la construction de la photo, ce qu’ont amené les autres, et c’est très jouissif ». A l’image d’Arnaud, Pierre Baradat se déguise chaque jour pour divertir sa famille.

D’autres familles ont également opté pour des ateliers créatifs en famille, loin des téléphones et de la société de consommation dans laquelle grandissent les jeunes générations. « Quand mon mari ne travaille pas, on fait des activités tous ensemble », explique Vanessa, mère de deux enfants, qui a dû changer son quotidien et se rapprocher de ses enfants, « on passait moins de temps tous ensemble étant donnée que les enfants étaient à l’école et nous au travail ». Pâtisseries, peintures, jardinage, jeux de cartes, dessins, … la liste pour combattre l’ennui est longue. L’emploi du temps pour apprendre à booster son imagination est bien chargé.

Les choses simples sont les meilleures

D’autres, plus grands ou plus âgés ont profité du confinement pour faire les choses essentielles qu’ils n’avaient pas le temps de faire. Chrislaine, mère de famille, a ressorti ses vieilles recettes pour préparer des petits plats à sa famille : « Je n’avais plus le temps de cuisiner, avec le confinement je reprends le temps de faire plaisir à ma famille, j’ai même cuisiné un couscous ! » s’amuse Chrislaine.

Réfléchir, faire du sport, concocter des petits plats… En bref, voici tous ce qui permet de prendre soin de soi afin de se ressourcer. Anna, lycéenne de 16 ans, en profite pour faire du sport et pour booster sa créativité. « Je fais du sport tous les matins, et l’après midi des ateliers comme la couture par exemple, je n’avais jamais essayé, mais c’est plutôt intéressant ! » Et puis, après tout, c’est plutôt agréable de prendre des nouvelles de ses proches ou de reprendre contact avec de vieux amis. D’autant plus que les apéritifs en vidéos sont autorisés !

 L’après confinement 

« Je me rends compte de certaines choses importantes que je ne faisais pas avant et que j’aimerai continuer à faire après le confinement », explique Chrislaine, « C’est agréable de cuisiner et qui plus est, avec ses propres aromates, je vais essayer de maintenir ce rythme là ». Pierre Baradat est aussi de cet avis : » On nous pose souvent la question sur ce qu’on va faire après le confinement. Alors pourquoi ne pas continuer à poster nos photos sur les réseaux, une fois par semaine pour prolonger cet esprit créatif en famille « .

Pour ces familles qui ont pu se ressourcer ensemble quotidiennement, l’heure est aux questionnements. Reprise du travail, retour à l’école : l’emploi du temps risque d’être chargé. Mais pas question d’en oublier les bienfaits du confinement.  » J’espère qu’après cette dure période, ma famille et moi pourront préserver cette complicité que nous avons retrouvée « , conclue Vanessa. Reste à savoir si tous ces nouveaux esprits créatifs continueront de se développer après le confinement.

Cindy Chevaux et Loane Philippe

 

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Les nouveaux moyens d’informer

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Avec le confinement, les médias ont dû se réorganiser pour traiter au mieux l’information.  Face aux contraintes sanitaires, les journalistes usent de méthode comme le télétravail ou la visioconférence en direct.

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Depuis le début du confinement, de nouvelles méthodes ont étés mises en place dans différents médias pour continuer à informer le plus grand nombre.

À la télévision, les Talks show battent leur plein. Les programmes  comme C à Vous sur France 5, Touche pas à mon poste présenté par Cyril Hanouna sur C8, ou encore Quotidien présenté par Yann Barthès sur TMC, ont recours à la visioconférence en direct. Une méthode qui fonctionne bien car elle a permit aux émissions de maintenir leur audience, soit 2,7% du marché sur C8 pour TPMP.

Interview par téléphone et précautions sur le terrain

Du coté de BFM TV, CNEWS, RMC mais aussi TF1, les interviews par Skype ou téléphone sont les plus prisés. A l’heure où la qualité du rendu était la plus importante, le retour à l’essentiel et l’information brute priment durant cette période un peu particulière.

Contraints de s’adapter, beaucoup de journalistes s’organisent en télétravail. “On arrive a faire de l’actualité même si c’est compliqué. Je fais énormément de télétravail. Je vais un peu sur le terrain car l’OM continue de faire parler, on essaie d’allier le sport avec le social. Mais mon travail de reporter me manque, le sport l’ambiance du stade, l’adrénaline des commentaires de but, même si les joueurs on peut les contacter encore par téléphone”, se désole Florent Germain, reporter à RMC Sport. Dans une période ou tout est en stand-by, le milieu du sport ne fait pas exception.

Les stratégies sont les mêmes pour les radios. Du côté de Radio France la rédaction continue de tourner, et toutes les précautions sont prises lorsqu’il est nécessaire d’aller sur le terrain. “Les journalistes de terrain ont des perches, des gants et des masques obligatoires fournies par la rédaction” témoigne Marie Christine Lauriol, reporter actuellement en chômage partiel à Radio France.

« Clique à la maison » : Informer via un live Instagram

Sur les réseaux sociaux, l’émission Clique animée par Mouloud Achour sur Çanal+, s’est transformée en “CLIQUE A LA MAISON”. Cette stratégie a rapidement été mise en place pour maintenir le contact avec ses téléspectateurs, faisant environ 3000 vus par vidéo. En direct, et en live Instagram, l’émission web est présentée sous forme d’interview, de témoignage et de débat sur l’actualité avec l’intervention en direct de différents invités comme Noélie Falguiere, médecin psychiatre atteinte du covid-19. Ou encore des artistes francophones comme Oxmo Puccino ou Soolking.

Concernant l’après-confinement, certains professionnels ne sont pas très optimistes. “Je pense que cela va être très compliqué pour le marché du travail de surmonter cette situation, les journalistes ont beaucoup perdu en crédibilité durant cette crise, malheureusement. Et en tant que journaliste indépendante, je réalise des documentaires et je ne pense pas que ce soit la priorité des grandes chaînes en ce moment” confie Sylvie Cenci, journaliste indépendante.

Agatha Granddidier et Clément Siéper

 

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