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À partir des données fournies chaque année par Aix-Marseille Université (AMU), il est aujourd’hui possible de connaître de nombreuses informations sur ses diplômés, trente mois après la fin de leur cursus. Quelles filières s’en sortent le mieux en terme d’insertion professionnelle ?

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Aix-Marseille Université compte un total d’environ 80 000 étudiants (dont 10 000 étudiants internationaux) répartis dans cinq campus.

En 2012, le taux d’insertion professionnelle de l’AMU était de 89,5 %. C’est-à-dire que 89,5 % des élèves diplômés de master ou de licence pro en 2010 ont trouvé une activité professionnelle dans les trente mois qui ont suivi. En 2014, ce chiffre tombe à 87,6 %. L’université est alors dans le creux de la vague.

En effet, dans les années suivantes, le taux d’insertion n’a cessé d’augmenter. Les dernières données ont été mises à jour en 2019, elles concernent la promotion 2016-2017. Parmi les élèves diplômés en 2017 qui ont répondu au sondage de l’AMU, 91 % d’entre eux étaient en emploi en 2019. Néanmoins, ce taux d’insertion est inférieur à celui de la moyenne nationale qui est de 92,5 %.

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Je reste, moi non plus

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Il faut en être conscient, effectuer un master ou une licence professionnelle ne vous offre pas les mêmes opportunités en terme d’emploi. Tout le monde ne trouve pas un travail à côté de chez papa et maman. Pour la promotion 2016-2017, les chiffres sont formels ; dans 70,2 % des cas, un étudiant diplômé d’une licence professionnelle par l’AMU va trouver son premier job dans la région PACA. Ce chiffre tombe à 56,7 % pour les élèves diplômés de master. Où vont-ils ?

« Les étudiants diplômés d’une licence professionnelle ont un ancrage géographique que n’ont pas les masters, explique Côme de Poncins, président du syndicat étudiant UNI 13. Ils ont eu ce contact avec les entreprises de la région tout au long de leur cursus que n’ont pas forcément eu les masters […] Une fois leurs études terminées, les étudiants diplômés d’une licence professionnelle savent à quelles portes toquer, parce qu’ils ont fait plus de stages et plus d’alternances ».

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La carte ci-dessous présente les destinations de 2653 élèves diplômés en master en 2017 par l’AMU. Si une majorité de ces anciens étudiants sont restés dans les Bouches-du-Rhône (1102), ou plus globalement dans la région PACA (1377), certains font le pari de s’insérer professionnellement ailleurs en France métropolitaine. Ces voyageurs se déplacent à Paris (205) et sa couronne (138), ou encore dans le Rhône (66). Parfois, les opportunités professionnelles se trouvent à l’étranger ; c’est le cas pour 156 d’entre eux, soit 5,9 % des sondés tout de même.

Cet exil des élites ne surprend pas Côme de Poncins : « le problème c’est qu’aujourd’hui tous les étudiants qui ont fait de belles études, de longues études, qui ont bien travaillé, n’ont même plus la certitude de trouver un emploi stable dans la région ».

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Une stabilité très relative

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Parmi les élèves diplômés d’un master en 2017 par l’AMU, et en emploi en 2019, les situations professionnelles diffèrent. En moyenne, trente mois après leur consécration, ils sont rémunérés à hauteur de 1982 euros net par mois. 19,24 % d’entre eux sont en CDD, alors que 9,91 % sont devenus auto-entrepreneurs.

Cela fait donc 30 % de jeunes qui n’ont pas trouvé une forme de stabilité trente mois après l’obtention de leur diplôme. « La communication entre le monde universitaire et le monde professionnel est très restreinte, explique Côme de Poncins. Il faudrait beaucoup plus d’échanges […] Nos étudiants doivent pouvoir dialoguer avec les membres d’une entreprise locale. C’est comme ça qu’ils pourront se rendre compte de la réalité du marché du travail […] Dès l’obtention du bac, ils doivent avoir des contacts avec le monde pro. Si on sort de cinq années d’études sans avoir eu cet échange c’est très compliqué de s’insérer ensuite ».

Il faut tout de même nuancer ces propos. La grande majorité est en emploi stable avec un contrat de fonctionnaire (29,66%) ou un CDI (41,9%).

À noter que les filières qui offrent le plus de stabilité sont, sans surprise, celles qui préparent aux métiers de l’enseignement. Malgré un salaire moyen plus faible (1850 euros net/mois), les diplômés profitent d’une insertion ultra-rapide dans ce secteur. 93,9 % d’entre eux trouvent un premier emploi seulement 3 mois après l’obtention de leur diplôme. Cette insertion se fait dans 75,2 % des cas dans la région PACA.

À l’inverse, les Sciences Humaines et Sociales ne garantissent qu’une insertion professionnelle réussie trente mois après l’obtention du diplôme que pour 84,6 % des étudiants. « La question c’est toujours la même, affirme Côme de Poncins. Est-ce que ces jeunes, en choisissant cette voie, connaissent les débouchés ? Est-ce qu’ils connaissent les perspectives ? ». Les SHS devront offrir plus de certitudes aux étudiants dans les années à venir.

Rémi Liogier

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