Handisport

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Depuis les années 2000, l’handisport ne cesse de se développer sur le territoire français. Entre augmentation du nombre de licenciés et émergence de nouvelles structures, il prend peu à peu de la place dans l’espace public.

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La région Auvergne Rhône-Alpes (AuRA) voit l’handisport se développer à vitesse grand V. Sur l’année 2004-2005, la région comptabilisait 1845 licenciés. L’an passé, en 2019-2020, ils étaient 3563 à s’essayer à l’handisport. « Cette évolution de licenciés est due à la création de nouveaux clubs qui sentent une forte demande. La question du handicap devient un sujet pour tous », explique Léo Loiget, conseiller régional de la ligue AuRA handisport. En atteste la création de nouveaux clubs handisports dans la région AuRA depuis 15 ans : « Nous avions 85 structures en 2005, nous en avons 100 de plus aujourd’hui. C’est formidable. », se félicite Léo Loiget. 

Même constat du côté du Pays de la Loire où le nombre d’adhérents a « grimpé » ces dernières années. C’est le résultat des subventions territoriales pour Sébastien Edelin, délégué régional à la ligue handisport du Pays de La Loire : « La région nous donne environ 23 000 euros chaque année depuis 6/7 ans. Avant, les versements étaient irréguliers. Un coup 20 000 puis l’année d’après 10 000. Avec une somme identique tous les ans, les clubs peuvent se développer et proposer de nouvelles activités, ce qui attire plus de monde ». La région Pays de La Loire verse aussi une enveloppe de 50 000 euros pour l’achat de matériels, « le nerf de la guerre de l’handisport » explique Sébastien.

Mais l’handisport doit aussi son développement aux associations et pouvoirs publics français qui veulent lui offrir une meilleure visibilité. La chaîne France Télévisions n’est pas totalement innocente dans cette expansion de l’handisport. 

La chaîne du service public diffuse en intégralité les Jeux Paralympiques depuis 2012. Une force pour le développement de l’handisport en France qui deviendra majeur en 2024 avec les Jeux Olympiques et Paralympiques qui se tiendront à Paris. 

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La France aux Jeux Paralympiques, ça donne quoi ? 

Les Jeux paralympiques d’été ont vu le jour pour la première fois en 1960. Ils se sont déroulés à Rome, du 18 au 25 septembre. La France a fait partie des vingt-trois nations participantes. À l’époque, seulement huit disciplines existaient dans cette compétition. Les Bleus s’étaient classés neuvièmes au classement général, décrochant sept médailles, loin des quatre-vingts obtenues par l’Italie. Les Jeux Paralympiques d’hiver voient le jour seulement en 1976. C’est la ville suédoise d’Ornsköldsvik qui accueille les premières olympiades. La France remportera cinq médailles et terminera huitième sur seize nations.

En 1992, l’hexagone organise les Jeux pour les invalides pour la première fois de son histoire. Il s’agit des Jeux paralympiques d’hiver, organisés à Albertville et Tignes. Les Bleus décrochent dix-neuf médailles et terminent sixièmes sur vingt-quatre nations. 

À ce jour, c’est la nageuse Béatrice Hess, l’athlète française la plus titrée. En 2000 à Sidney, elle remporte sept médailles d’or, un record! 

Leur record de médailles, l’équipe de France Paralympique l’obtiendra en 1992 à Barcelone : 4ème sur 82 (106 médailles, 36 en or). À l’inverse, c’est à Londres, en 2012, qu’ils établiront leur plus mauvais rendement : seizièmes sur 165 nations (45 médailles dont 8 en or). 

À Tokyo l’été prochain, ils seront encore nombreux à vouloir briller. Mais la date que tout le monde a en tête c’est bien 2024, et les Jeux organisés à Paris. Une occasion unique pour que l’handisport soit apprécié à sa juste valeur. 

Luca Licata Caruso et Enzo Fiorito 

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À Marseille, défilé de papillons

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La cité phocéenne regorge d’espèces animales. C’est notamment le cas des papillons, qui sont des milliers à survoler la ville. 

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« En 8 ans, le parc à papillon a vu les espèces doubler, passant de 16 à 32 aujourd’hui », Magalie Deschamps-Cottin, spécialiste écologue en milieu urbain, célèbre la réussite du parc urbain à Papillon situé dans le quartier de Sainte-Marthe, dans le XIV arrondissement de Marseille. Fruit du travail du Laboratoire Population Environnement Développement de l’Université comme « dispositif expérimental de recherche, outil d’aide à la gestion des espaces verts et espace de formation et de sensibilisation de différents publics ». Créé en 2012, il très peu connu aujourd’hui des Marseillais.

« Ce parc a pour mission majeure de sensibiliser sur la biodiversité urbaine » confirme Magali Deschamps Cottin, également maître de conférences à Aix-Marseille Université. « Aujourd’hui à Marseille, la plupart des gens ne savent pas qu’il y a autant d’espèces de papillons dans leur ville ». Une méconnaissance d’une riche diversité de papillons qui poussent Magali et son équipe à poursuivre leurs efforts. « On veut dupliquer notre parc à papillon dans le centre-ville, on a déjà démarrer dans le jardin des vestiges du Centre-Bourse », s’enthousiasme l’écologue.

La ville de Marseille accueille dans ses murs plus de 40 espèces différentes de papillons. « Le papillon est un polinisateur qui réagit bien au changement rapide de l’environnement et s’adapte à tous types de plantes, et surtout, c’est un modèle connu de tous ».

 

Aymeric Paris et Luca Licata Caruso

 

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Des fermes pédagogiques pour découvrir la biodiversité

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Aujourd’hui, près de 1400 fermes pédagogiques sont implantées en France. Avec un but unique : sensibiliser de jeunes enfants à la biodiversité.

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Depuis le 5 avril 2001, les fermes pédagogiques sont considérées telles qu’elles. Elles peuvent prendre différentes formes, allant de la ferme d’animation à l’exploitation agricole. Mais toujours dans un but unique : celui de l’apprentissage pour les plus jeunes.

Que ce soit dans un but scolaire ou bien pour occuper vos dimanches en famille, les fermes pédagogiques proposent une découverte de la faune et de la flore éducative.

Et si vous ne savez pas que des fermes existent près de chez vous, des réseaux de fermes pédagogiques existent comme « Accueil paysan » ou encore « Bienvenue à la ferme »

À Marseille, la ville se démarque en comptant 3 fermes pédagogiques à son actif, la seule en France. Reliées à la mairie, ces fermes s’inscrivent dans un cadre scolaire et rentrent dans le programme éducatif pour les jeunes écoliers.

 

Aymeric Paris et Luca Licata Caruso

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