AMAP: L’évolution avec le COVID-19

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Les amap* évoluent avec le Covid-19

L’évolution des amap* suite à la pandémie de coronavirus est notable, Jerome Laplanne agriculteur et maraicher à Aubagne accompagné de ses nombreux collaborateurs, dont quatorze agriculteurs locaux fournissent encore aujourd’hui une nourriture fraîche et bio a leurs consommateurs en quarantaine.

« Il est important de bien manger, on nous l’a toujours répété, alors en quarantaine pas d’exceptions, il faut des produits frais et bio. Ainsi on a décidé de proposer un service de livraison à la maison », explique Jerome Laplanne l’agriculteur de père en fils. Pour ce faire, il suffit d’un simple texto à envoyer, l’inscription s’ensuit par papier après un paiement en ligne de 45 euros.

Le prix du panier est fixé de manière équitable : il permet au paysan de couvrir ses frais de production et de dégager un revenu décent, tout en étant abordable par le consommateur.

« Ces initiatives menés par les agriculteurs font de plus en plus échos aujourd’hui… La demande explose et ça ils l’ont compris, ils en ont aussi besoin pour continuer de percevoir un revenu mais aussi pour ne pas perdre des récoltes », assure Marion Fournier, responsable des relations presse à la fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles, FNSEA.  « Cela leur permet surtout de s’émanciper des grandes surfaces et de créer des réseaux de confiances».

 

Manger frais, manger local

 

« Moi ce que j’aime bien ici c’est que il y’a pleins de choses qui sont bonnes et il n’y a pas de pesticides », analysait le jeune Paul du haut de ses 8 ans lors d’une amap organisée le 11 février à Marseille. Auparavant ce regroupement d’agriculteurs proposait dans de divers endroits une rencontre avec les consommateurs pour acheter et choisir directement leurs fruits et légumes bio.

 

Parmi les plus fidèles acheteurs des amap la maman du petit Paul, elle est convaincue du bien-fondé des amap* : « je suis la depuis longtemps, depuis la création 2003,2004 il me semble pour Marseille avec Jerome. J’ai commencé par manger chez une amie, ses carottes étaient un peu défraîchie mais elles étaient excellentes et elle m’a donc dirigé vers les amap ». Manger frais, manger local, et ce surtout en confinement, aujourd’hui c’est maintenant possible. « Je suis confiné en ce moment, comme tous le monde et grâce à eux, aux amap et leur métamorphose actuel je peux me permettre de ne pas changer mes habitudes alimentaires »,conclut-elle au téléphone. Ainsi grâce a ce réseau développé par Jerome Laplanne agriculteur et maraicher à Aubagne les ventres des consommateurs ne désenflent pas.

Franck Delabot.

Définition AMAP : 

Le fonctionnement

Une AMAP naît en général de la rencontre d’un groupe de consommateurs et de paysans (ou artisans transformateurs) prêts à entrer dans la démarche. Ils établissent entre eux un contrat pour une (on distingue en général 2 saisons de production : printemps / été et automne / hiver), selon les modalités suivantes :

Ensemble, ils définissent la diversité et la quantité de denrées à produire pour la saison. Ces denrées peuvent être aussi bien des fruits, des légumes, des oeufs, du fromage, de la viande

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Les 5 bienfaits de l’arbre.

Les arbres de la Plaine sont abattus sous haute protection des CRS. Marseille, 16 octobre 2018. ©Sarah Diep/ID

Pour parler préservation de la biodiversité, l’ONU émet des pronostiques pertinents. Notamment par ses objectifs futurs : « Objectif 15 : Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres, en veillant à les exploiter de façon durable, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des sols et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité ».

L’image interactive qui suit aborde cinq point relevant les propositions de France Nature Environnement et les chiffres de l’Organisation des Nations-Unies : protection face à la pollution, barrière naturelle contre le réchauffement, un gage de sécurité routière, vecteur de biodiversité et enfin lutter contre le phénomène de désertification.

Derrière des infarctus, cancers ou encore arrêts cardiaques se cache parfois la troisième cause la plus courante de décès. 500 000 européens succombe de la pollution chaque année. 48 000 en France. Pour lutter contre cette pollution de l’air, la planète terre est tapissée à 30% de forêts qui captent le CO2. Même si près de 15% des terres sont actuellement protégées, la biodiversité est toujours menacée. Ces espaces verts contiennent 80% des espèces d’animaux, de plantes mais aussi d’insectes. Pour 8 300 races sur la planète bleu, 8% ont disparus et 22 % auront disparus si rien n’est fait.

La déforestation et la désertification sont le revers des activités humaines et du changement climatique. Ainsi les défis majeurs du développement durable sont posés. 52% des terres utilisées pour l’agriculture sont handicapé modérément ou fortement par la dégradation des sols qui serait de 30 à 35 fois plus rapide que le rythme historique, en raison de la sécheresse et de la désertification. 12 millions d’hectares sont perdus chaque année soit 23 hectares par minute.

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